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 Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]

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Lily-Rose S. Hepburn


Lily-Rose S. Hepburn

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MessageSujet: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptyMer 19 Juin - 23:42

Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] 437366938074me9





C’est surprenant les journées de dingue que l’on peut avoir tout au long de l’année des journées plus ou moins paisibles ou disons gérables. Aujourd’hui est une de ces journées complètement ingérable. Les enfants n’étaient pas spécialement turbulents mais disons que mon fils était comme malade, à la recréation on m’a remplacé pour ce qui était de surveiller la cour de récré afin que j’aille à l’infirmerie. Alors que mon petit chéri allait bien ce matin quand nous allions à l’école il semblait qu’il était fiévreux à présent. Cela lui avait prit après mangé. Je ne comprends pas du tout ce qui peut lui arriver. J’avais alors demandé s’il m’était possible de le faire garder à l’infirmerie jusqu’à la fin de la journée. Normalement je devrais pouvoir prendre ma journée pour m’occuper de mon fils mais je préfère faire ce genre de chose quand je vois qu’il est dans un état critique et vis-à-vis de mon fils j’ai déjà vu pire. Il pourra je pense supporter sa fièvre jusqu’à ce que je termine et si cela empire alors je quitterai l’école le plus rapidement possible. Au final, la journée à semblé passer assez rapidement et j’ai demandé à partir sans avoir à me charger des petits de l’étude pour ce soir cependant alors que j’allais en direction de ma voiture avec mon fils on me contacta sur mon téléphone portable. Qui cela peut-il bien être. La directrice ? Mais je viens de partir que veut-elle ?


Je décroche et après une brève conversation j’apprends que je dois ramener le petit Enzo à son père. Sa mère était censé s’en occupé et venir le chercher à l’école mais elle semblait avoir un contre temps et ne pas pouvoir s’en occuper aujourd’hui. C’est fou le côté sans gêne des parents des fois qui pensent qu’on est là pour s’occuper de leur enfant à leur place. J’avais bien entendu être mise au courant de la séparation des parents du petit afin de ne pas faire de bêtise lorsque je m’adressais au gamin mais surtout de pouvoir savoir qui venait le chercher quel jour. Cette femme semblait devenir une tout autre personne depuis qu’elle n’était plus avec son mari. Du coup je prit le temps d’attacher le petit dans la voiture, je refermais derrière moi et j’allais chercher le petit Enzo à l’école, c’est au pas de course avec le gosse dans les bras que je revenais dans la voiture. Direction le cabinet du médecin pour mon fils mais aussi pour lui rendre son enfant. Grâce à dieu personne n’était dans la salle d’attente enfin si quelques personnes mais pas autant que d’habitude je veux dire. Il n’y a pas une salle d’attente bondée et qui semble interminable. J’attends alors tout au plus une dizaine de minutes et voilà mon tour qui arrive. Je rentre dans le cabinet du médecin.


 « Bonjour, je viens pour mon fils mais également parce qu’il me semble que ce petit vous revient légitiment. Votre femme nous a appelé elle est dans l’impossibilité de venir le chercher et de s’en occuper. Je n’ai pas demandé plus de détail. »
 
Je souris à ce dernier mais fait une petite mou car je sais que ce n’est pas plaisant de savoir que sa femme avait décidé de s’occuper de son enfant et au final laisse tomber. Quand on dit que l’on fait quelque chose on le fait ou alors on ne promet pas.


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Isaac E. Rebirth


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MessageSujet: Re: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptyJeu 20 Juin - 13:56



il faut soigner le mal par le mal, radical contre la douleur.


─  Bonjour, je viens pour mon fils mais également parce qu’il me semble que ce petit vous revient légitiment. Votre femme nous a appelé elle est dans l’impossibilité de venir le chercher et de s’en occuper. Je n’ai pas demandé plus de détail. explique-t-elle. J'ai envie de fumer une clope, maintenant. Je ne supporte pas quand, elle reporte ses responsabilités, en voulant être avec son nouvel amant. Je ne comprends pas pourquoi, elle a voulu avoir la garde si c'est pour abandonner. Je suis tombé sur la mauvaise personne, heureusement, que Lily-Rose s'est chargée de me le ramener au cabinet. Il vient me voir en courant, pour m'enlacer, content de pouvoir me voir. Il dépose ses affaires, avant de prendre une « sucrerie » pour les enfants malades, sur mon bureau. Je me redresse doucement, avant de reporter mon attention, sur la mère de famille. ─ Bonjour Mme Hepburn ! Je suis ravis de vous revoir ! J'aurai préféré d'en d'autre condition ! Je vous remercie de m'avoir apporter, Enzo ! Elle a souvent habitude d'annuler au dernier moment ! Tu viens bonhomme, on va voir ce que tu as ! dis-je, en entraînant le garçon, sur le grand fauteuil. Je lui mis sur le front le thermomètre électronique, pour savoir sa température. Il a de la fièvre ce bonhomme, un bon 38,5. Je me retourne vers sa mère, pour savoir quand il a commencé à se sentir mal. J'aurai peut-être un avant goût de ce qui a causé son mal. ─ Quand est-ce qu'il a commencé à se plaindre ? questionnais-je, par rapport à son état. Je continue toujours à m'occuper du garçon, en attendant que la mère me répond. Je lui demande d'ouvrir la bouche, pour observer attentivement, et voir si ce n'est pas une maladie buccal dentaire, dû aux premiers symptômes. Je prend mon stéthoscope, pour écouter son organisme.


Je lui dis par la suite de s'allonger pour appuyer sur son ventre, en me disant quel endroit, il avait mal exactement. Je donne mon verdict, intoxication alimentaire, premier symptômes, et très concluants. Je dois savoir quel repas, il a mangé pour prévenir l'école, et les prévenir des risques d'intoxication. Je risque de me faire insulter par tous les noms, uniquement en trouvant les cuisiniers trop indulgents. Il s'agit tout de même des enfants. ─ Qu'a-t-il mangé à l'école ? Je pense que cela provient de ça ! demandais-je, en regardant mon enfant qui ne semblait souffrir d'aucun symptômes. Il ne devra pas manger pendant vingt-heures, et se reposer beaucoup, avant même de pouvoir déguster des aliments liquides, comme des yaourts. Il ne va pas apprécier, sachant que les enfants ont tendance à aimer sortir dehors, ou à manger des bonbons et gâteaux, dés que possible. Et ça tombe mal, je crois qu'il va pas apprécier de ne pas manger une « sucrerie » comme mon garçon. Je lui fais le dernier examens, par rapport à sa taille, et également à son poids, une routine pour les patients. Je vais peut-être lui conseiller des cachets, si vraiment cela ne passe pas. Il est préférable de laisser vomir, et aller aux toilettes, régulièrement, ça permet de sortir la bactérie naturellement. Je n'aime pas non plus vomir, mais c'est la meilleur façon de guérir naturellement, et rapidement. Je ne sais pas comment réagi le corps par rapport aux médicaments, cependant. Je crois que mon garçon a tout de même vomis quand il appris le cachet contre les vomissements. Il a faillit un certain temps avant que cela fonctionne normalement. Je passe la main sur la tête de mon enfant, qui ausculter sa peluche. Il était vraiment adorable. Il sera un futur médecin, comme moi, en espérant que côté cœur, il est plus chance que moi, malheureusement.


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Lily-Rose S. Hepburn


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MessageSujet: Re: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptyJeu 20 Juin - 14:52

Je n’ai peut être pas parlé avec un tact énorme et pourtant en étant professeur je suis censé en avoir, j’espère que je n’ai pas fait d’idioties en parlant ainsi mais il est vrai que cet enfant lui revient puisque c’est son fils et que sa mère n’est pas libre pour venir le chercher ainsi que pour s’en occuper. Ceci dit je ne peux pas dire que cela me dérange de devoir lui ramener puisqu’il faut que j’emmène mon fils chez le médecin alors je fais d’une pierre deux coups au final. J’ai juste à l’emmener avec moi et à attendre avec lui dans la salle d’attente et une fois que je saurais ce que mon fils à je pourrais lui laisser son fils. A moins qu’il n’ai pas terminé le boulot et qu’après moi il ait encore quelques patients, je pense que pour lui rendre service comme je le fais déjà je pourrais emmener le petit Enzo à la maison et le garder jusqu’à ce que son père termine de s’occuper de ses patients. A peine sommes nous rentré dans le bureau du médecin que le petit Enzo cours dans les bras de son père, c’est si mignon. Enfin je trouve la scène assez amusante et mignonne et puis j’ai toujours été amusée de voir les petits courir, ils sont à moitié assuré de ce qu’ils font mais pas tout à fait en crainte de déséquilibre. C’est amusant à observer à vrai dire.
 
Alors que j’avoue être plus concentré sur ce qu’il est en train de me dire sur sa femme, enfin son ex-femme et à regarder le petit faire comme chez lui, j’en oublie littéralement la véritable raison de ma venu ici si ce n’est apporté le petit. Il est cependant là pour le rappeler et demande à Mordred d’aller s’assoir pour qu’il puisse l’examiner et ainsi voir ce qui ne va pas. A la première question que le médecin pose je réfléchit pour me rappeler ce que l’infirmière de l’école m’avait dit.
 
 « Il semblerait que cela soit venu après le déjeuner. Tout allait bien quand je l’ai emmené à l’école, le matin c’était pareil et à la récréation du matin il était en pleine forme. C’est une petite heure après mangé qu’on m’a dit qu’il était fiévreux. »
 
Les professeurs et les élèves mangent à peu près la même chose si ce n’est que certains apportent leur repas et que les professeurs ont également quelques petits plus par rapport à leur élève. Mais il fallait que je donne en détail le menu des enfants à l’école.
 
 « Vous pensez à une intoxication alimentaire…En entrée c’était une salade de tomate et concombre ensuite ils sont eut des raviolis et en désert un yaourt au fruit. Comment savoir ce qui à causé l’intoxication parmi tout cela ? »
 
C’est une chose impossible à faire, à la rigueur s’il n’avait mangé qu’une chose ce serait facile de déterminer la cause de l’intoxication mais avec un tel repas c’est une galère énorme. On ne va tout de même pas faire tester les aliments à une personne à chaque fois en espérant voir que l’un d’entre eux sera malade et enfin trouver la cause de la maladie de mon fils. Je laisse mon fils me rejoindre et s’assoir sur la chaise qui se trouve de l’autre côté du bureau du médecin. Je préfère le voir assit et éviter qu’il ne tombe si ce dernier me fait un malaise et si je préfère le faire assoir plutôt que de lui demander de rester debout c’est que je n’en ai pas vraiment fini avec le médecin, j’aimerai lui demander de s’occuper de moi.
 
 « Sans abuser de votre amabilité, est-ce que vous pourriez m’osculter Docteur. Je…je pense être enceinte…je sais que ce n’est pas vraiment à vous de gérer ce genre de chose mais mon gynécologue est en vacance. »
 
J’étais un peu gêné de demander ce genre de chose au père du petit dont je m’occupe la majorité du temps quand il ne peut pas être récupéré directement après l’école et puis ce n’est peut être pas une chose qu’il a l’habitude de faire, de diagnostiquer des grossesses mais je veux être sûr. Je dois être maso mais il faut que je sache si je suis ou non dans la merde. Un enfant qui va voir le jour sans même connaitre son père ou est-ce que ce n’était qu’une fausse alerte.
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Isaac E. Rebirth


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MessageSujet: Re: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptyJeu 20 Juin - 18:14



il faut soigner le mal par le mal, radical contre la douleur.

─ Il semblerait que cela soit venu après le déjeuner. Tout allait bien quand je l’ai emmené à l’école, le matin c’était pareil et à la récréation du matin il était en pleine forme. C’est une petite heure après mangé qu’on m’a dit qu’il était fiévreux. m'explique-t-elle. Je ne m'étais donc pas trompé. Il avait été intoxiqué par la « catine » de son établissement. Je ne comprends pas pourquoi ça ne touche qu'un enfant. Je ne veux pas que tout le monde soit touché, ou peut-être ça ferait comprendre, que les « cuisiniers » sont vraiment maladroits. Il serait préférable de les avertir du danger tout de même. Je sais qu'une intoxication, peut être vitement rétablit, mais ce n'est pas une raison, d'intoxiquer un enfant. J'irai voir par moi-même, la prochaine fois, et mon inspection pourra établir un « verdict » judiciaire pour changer de responsables. Je ne veux pas priver d'un poste quelqu'un, mais la santé des enfants est plus importante, me semble-t-il, que ceux d'une seule personne. ─ Je crains que Mordred est une intoxication alimentaire ! Il y a eu d'autre enfant se plaignant ? questionnais-je pour savoir les dégâts de cette intoxication. Il faudrait que je viennes, un moment. Je le dis pour la deuxième fois, mais c'est que vraiment il y a urgence, et que je crains ne pouvoir me déplacer. Je devrais demander à mon collègue de prendre en charge cette « mission ». Je reviens à mon bureau, pour conseiller quelques cachets, au cas ou il aurait des vomissements, et diarrhée, mais si vraiment ça dure longtemps, il les prendra. Il sera de repos pendant un jour, au cas ou il y a des vomissements, et de la diarrhée justement. ─ Vous pensez à une intoxication alimentaire…En entrée c’était une salade de tomate et concombre ensuite ils sont eut des raviolis et en désert un yaourt au fruit. Comment savoir ce qui à causé l’intoxication parmi tout cela ? questionne-t-elle, par rapport au repas. Je doute que ça soit déjà les légumes, mais peut-être le yaourt, ou même peut-être des raviolis pas très fraîches. Il faudrait regarder sur l'emballage des yaourts, ou demander de goûter les raviolis. J'ai un estomac solide, donc je pourrais rapidement dire le « verdict » et ainsi interdire la comestibilité de ces aliments. Je pense effectivement, que c'est une « intoxication alimentaire » nul doute dessus, à présent. Je me met à toucher mon stylo pour réfléchir, en me touchant les cheveux d'une main. Je sais mes manies reprennent, oh moins on voit que je réfléchi, et que je en fais pas semblant, quoiqu'on sait jamais, ils pourraient croire que ce n'est que des manies habituelles.

─ Oui je le crains ! Je pense que cela doit provenir des raviolis, ou des yaourts ! J'irais faire un tour si cela ne vous dérange pas ! Alors pour Mordred, il serait préférable qu'il reste à la maison demain et qu'il ne mange pas pendant 24h ! Il se pourrait qu'il y a des vomissements, ou de la diarrhée ! Je vais vous prescrire des « antipyrétiques » pour calmer la fièvre, et également des anti-vomissement, et anti-diarrhée, au cas ou cela ne s'améliore pas ! Je conseil, qu'il ne les prenne pas, pour que la bactérie s'en va d'elle-même par les symptômes ! Il devrait aller mieux dés-y les deux jours ! terminais-je, en imprimant les prescription pour la pharmacie, et son école également. Je signe les documents, et lui remet après. Je me tourne vers elle, quand elle se met à hésiter de me parler de quelque chose. Je suis ouvert, donc tout ce qu'elle me dira restera de toute façon « confidentiel ». Elle demanda à son enfant de s'asseoir, pour ne pas qu'il tombe pendant le temps de la conversation. ─ Sans abuser de votre amabilité, est-ce que vous pourriez m’osculter Docteur. Je…je pense être enceinte…je sais que ce n’est pas vraiment à vous de gérer ce genre de chose mais mon gynécologue est en vacance. me demande-t-elle, en étant gêner. Je crois que cela ne dérange personne, oh peut-être le prochain patient, mais il a déjà attendu, donc ça ne lui gênera pas. Elle pense être enceinte, donc elle a du ressentir les premiers symptômes. Je comprends, vu que c'est la période des « grandes vacances ». Je pourrais effectivement ausculter, mais faudrait que les enfants ne croient pas, que je fais des attouchements à Mme. Hepburn. Je crois que ce n'est pas maintenant, que j'ai envie de me faire traiter de « pervers » ou de « violeur » par des enfants. Il en a l'habitude, mon garçon, vu qu'il vient de temps en temps, et lui explique mon « métier » pour ne pas expliquer aux camarades, que le travail de son père est tripoteur. ─ Je suppose que vous avez du ressentir les premiers symptômes ? Veuillez me suivre ! questionnais-je, en l'indiquant le même chemin que son fils. Je marchais jusqu'à la salle, et heureusement que j'avais un échographie, ayant tout prévu, non du moins ayant habitude de m'occuper des cas « particulier ». Je lui demande de s'allonger, et de relever son vêtement, pour pouvoir si effectivement, y a un enfant dans son ventre. il y a également le test de grossesse, qui peut être également pratique, mais peut-être pas toujours fiable. Je ferme la porte, uniquement pour ne pas que les enfants voient, mais on peut les voir. Je pense pouvoir dire que mon garçon pourra s'occuper de notre premier patient pour le moment. Je masse son ventre, pour voir déjà si on ressent un « nourrisson » assez grand, ou non. Je pense ressentir effectivement quelque chose, mais avant de porter mon verdict, il faut passer l'échographie, même petit il pourra le trouver facilement. Je prend la crème au placard, et l'étale sur son ventre, et passer ensuite le « détecteur » pour voir ou en est ce qui me semble être un enfant. Je le vois bien, il est quand même assez grotesque, mais cela deviendra plus vivant dans quelques mois. Je lui montre le nourrisson, que je nomme par moment OVNI en vue de sa taille microscopique. Je me met à sourire, appréciant de voir une grossesse normal. ─ Je peux vous le confirmer, vous êtes bien enceinte, de deux mois seulement ! Félicitation ! félicitais-je, avant de prendre toujours enthousiasme. Vous voulez peut-être que je la photographie ? Questionnais-je sachant, que c'est par moment bien d'avoir un appuis par rapport à cette « nouvelle » ou même pour se rassurer, que tout cela n'est pas qu'un rêve ou un cauchemar pour certaines.

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MessageSujet: Re: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptyJeu 20 Juin - 20:13

 C’est vrai que j’aurai peut-être put le deviner sans l’aide du médecin que mon fils avait une intoxication alimentaire. Après tout j’étais déjà surprise qu’il aille mal soudainement alors que le matin et la veille il allait parfaitement bien. Certes quand on est malade on le devient du jour au lendemain mais bon là c’était peut être assez évident parce que c’était apparut juste après le déjeuner.  Des fois j’ai vraiment l’impression d’avoir un problème dans mon rôle de mère pour ne pas être certaine de ce que mon fils a. Je sais que je ne suis pas médecin mais il y a des maladies évidentes et faciles à déceler comme le rhume, l’angine, la gastro, la grippe ou encore cette satané intoxication alimentaire. Il me demande si cela aurait touché d’autre personne à l’école mais il ne me semble pas parce que tous les élèves allaient vraiment bien et puis je pense qu’on nous aurait demandé de venir dans la salle des professeurs si c’était d’une ampleur énorme et qu’il fallait que l’on convoque les parents. Non, cela ne touchait que mon fils du moins je l’espère parce que si nous devions faire vérifier la qualité de ce que les gens de la cantine préparaient et faire vérifier la nourriture à chaque fois.
 
« Non…il n’y a que mon fils. Je pense qu’on m’aurait prévenu si cela allait plus loin que la santé de mon enfant. Si j’ai des nouveaux cas à l’école similaire à mon enfant je vous préviendrais mais j’en doute fort. »
 
Nous revenons vers le bureau du médecin et ce dernier nous prescrit des médicaments au cas ou cela persiste. S’il a envie de vomir ou qu’il a des problèmes de diarrhée et bien il y a qu’à prendre les médicaments du Docteur et attendre que cela passe. J’espère juste que mon petit bébé ira mieux et surtout très vite. Je sais que mon fils à cinq ans et pourtant il est toujours mon petit bébé à mes yeux. C’est pas possible d’après le médecin cela n’a aucune raison de venir de l’entrée en même temps c’est vrai que les tomates et les concombres n’avaient pas l’air d’avoir quelque chose ceci dit le reste aussi avait l’air bon. Rien qu’avec son verdict je sais d’avance qu’à chaque fois que je vais lui refaire manger des raviolis ou encore un yaourt je vais avoir cette peur qu’il me refasse une indigestion. Je sais que c’est tout à fait absurde et je vais éviter de tomber dans la stupidité à ce point mais bon quand on est malade en mangeant un truc une fois on peut craindre que la chose reprenne une autre fois. Bien entendu il faut avoir le courage de retenter l’expérience pour vérifier que ce n’était qu’une coincidence.
 
 « Merci beaucoup ! Je vais suivre vos conseils à la lettre et puis s’il y a encore des problèmes je reviendrais vous voir ou je vous appellerais.  Je pense que si je vous écoute il n’y aura aucune raison que l’on se revoit…enfin ce n’est pas que je ne souhaite pas vous revoir juste pas avec quelqu’un de malade. »
 
Mon dieu que je peux être bavarde et maladroite. Je sais parler aux personnes d’habitude mais là je sais pas ce que je disais semblait tellement d’une évidence que je me suis emmêlée dans mes propos jusqu’à dire n’importe quoi ou des choses qu’il savait déjà.  Je n’avais pas vraiment osé lui demandé de m’examiner avant que ce dernier ait terminé avec les papiers qu’il devait signer pour l’école mais aussi pour la pharmacie histoire que je puisse aller chercher les médicaments de mon fils tout à l’heure en sortant du cabinet. Je le suis à l’endroit où à été Mordred juste avant quand il s’agissait de se faire examiner par le médecin, je m’installais dessus pour le laisser agir.
 
 « Oui, j’ai quelques nausées matinales et contrairement à ma première grossesse je suis facilement dégoûtée devant la nourriture. »
 
Je m’allonge alors sous son conseil et le voit amener tout le nécessaire mais également fermer la porte. C’est une idée judicieuse on ne sait jamais ce que les petits peuvent se mettre en tête enfin je suis sans son père et il doit le savoir ou du moins se mettre l’idée en tête mais ceci dit il ne faut pas qu’il se fasse des idées ou penser que je saute sur le premier mec venu. Il est certes un peu trop jeune pour avoir ce genre d’idée enfin bon. Alors qu’il m’étale le nécessaire sur le ventre et fait l’échographie je regarde l’écran et lorsqu’il m’annonce la grossesse confirmée je suis dans un mélange de sentiments. Entre la joie et un sentiment indéscriptible de crainte ou de deception. Je suis heureux d’avoir un nouvel enfant mais quand je me projette dans le futur je ne peux juste pas tolérer qu’il grandisse sans père et tout cela par ma faute.
 
 « Merci Docteur…allons-y pour la photographie c’est toujours cela de prit. »
 
Je le laisse donc faire ce qu’il a à faire pour prendre la photographie du fœtus. Je ne peux pas l’avoir prit pour Mordred et ne pas le prendre pour celui-ci cela serait un déséquilibre total et puis ce que je fais au premier j’aimerais pouvoir faire la même chose au deuxième pour qu’il y ait un pied d’égalité.
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MessageSujet: Re: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptyVen 21 Juin - 20:30



il faut soigner le mal par le mal, radical contre la douleur.

─ Non…il n’y a que mon fils. Je pense qu’on m’aurait prévenu si cela allait plus loin que la santé de mon enfant. Si j’ai des nouveaux cas à l’école similaire à mon enfant je vous préviendrais mais j’en doute fort. Bien ! C'est une bonne chose ! Il se peut que pour certains, ça mettent plus longtemps. Je ne veux pas qu'ils tombent malade. Je dis que cela arrive souvent malheureusement. Je vais tout de même passer pour une « vérification ». Je veux être sur que les enfants ne mangent pas des « bactéries ». Il faut mieux m'appeler. Je viendrai rapidement, ce soir je demanderais à mon enfant. ─ D'accord ! affirmais-je, avant de lui expliquer, que cela pouvait provenir de deux aliments. Je ne crois pas que cela provienne des « légumes ». Ils peuvent tiède, sans problème. Il se peut tout de même qu'ils soient dépassés, pour provoquer l'intoxication alimentaire. Je vais lui prescrire des médicaments, à son âge vaux mieux prévoir un bon rétablissement. Ils sont plus fragiles. Je vais imprimer, et lui remettre les documents, pour qu'elle les achètes rapidement. Je regarde mon garçon, qui est en train de poser des questions, sur sa maladie, comme il a habitude de dire souvent. Il ne va pas lui répondre, ne sachant pas ce que c'est une intoxication. ─ Merci beaucoup ! Je vais suivre vos conseils à la lettre et puis s’il y a encore des problèmes je reviendrais vous voir ou je vous appellerais.  Je pense que si je vous écoute il n’y aura aucune raison que l’on se revoit…enfin ce n’est pas que je ne souhaite pas vous revoir juste pas avec quelqu’un de malade. Il n'y a aucune raison, pour que ça se déroule mal. Il ne doit pas manger, sinon il y a un risque de récidiviste qui va ennuyer les deux. Je crois qu'il est mieux de tout fermer, pour ne pas qu'il mange entre temps, comme les enfants font en général. Je sais que c'est un peu dur, mais c'est pour sa santé, et par précaution, c'est nécessaire ! Je suis content, qu'elle veut me revoir. Je crois que c'est la seule femme que je fréquente seulement, même si c'est mal vu étant une « patiente » mais personne ne le sera. Il n'y a aucun problème. Je crois que depuis mon ex femme, j'ai vraiment du mal avec la gente féminine. Je les vois mal, surtout après la dispute, ou elle disait qu'elle voulait être libérer, et qu'elle me blâmait de tout, et n'importe quoi. Je crois qu'après ça, tu n'as pas envie clairement de retourner avec une femme. Je suis désolé, mais c'est tellement désolant de voir ce comportement, que ça m'a dégoûté de l'amour.

─ Vous n'avez pas à me remercier ! Je n'ai fais que mon travail ! Veillez à ce qu'il ne mange rien pendant 24h et cela devrait aller ! Je suis content d'apprendre, que vous souhaitez me revoir ! Je suppose en meilleur condition, ce n'est pas toujours plaisant d'accompagner quelqu'un au médecin ! Je crois que ça sera tout. Je comptais l'accompagner à la porter, mais elle me demande un nouveau service. Il n'y a aucun problème. Je peux l'ausculter, si vraiment elle en a besoin. Je vais devoir fermer la porte. Je ne veux pas que les enfants s'imaginent, que je m'amuse à toucher mes patients. Je vais me faire gueuler, si cela venait à s'apprendre. Je lui demande cependant, si elle a ressenti les premiers symptômes. Je peux sans doute dire que c'est les nausées matinales. Il y a surtout la perte des menstruations. Et c'est le signe irréversible, qui montre qu'une femme a un risque énorme d'avoir un enfant. ─ Oui, j’ai quelques nausées matinales et contrairement à ma première grossesse je suis facilement dégoûtée devant la nourriture.  Il y a des symptômes différents. Je me souviens d'une amie, qui voulait manger du chocolat avec des cornichons, ce qui doit être appétissant pour une femme enceinte, mais pas du tout en temps normal. Et pour la dernière, elle n'a voulu rien manger, mais uniquement boire du café, trouvant que ça avait meilleur goût. Je ne comprendrais pas les femmes enceintes. Il ne vaut pas mieux, cela peut-être dangereux, en vue des hormones, et des sauts d'humeurs fréquents. Je lui demande de s'allonger, ou on commence à voir l'intérieur, et ainsi un fœtus. Il a seulement quelques mois. Je lui demande, si elle veut une photographie, pour avoir une certitude et le montrer à son enfant. ─ Merci Docteur…allons-y pour la photographie c’est toujours cela de prit. Il est vrai que c'est toujours cela de prit. Je me retourne pour imprimer. Je l'actionne, et me met de nouveau auprès de ma patiente, pendant l'impression. Je regarde les enfants qui s'amusent ensemble. Je peux dire que jouer les docteurs, amuse beaucoup mon garçon. Il va me ressembler. Je crois que ça ne plaise pas à sa belle-famille. Je ne vais rien dire pour le moment. Je prend la photographie, en lui remettant dans une enveloppe de protection. ─ Tout le plaisir est pour moi ! Voilà ! Évitez de vous surmener, même si ce n'est que les premiers mois ! Je ne lui demande pas l'argent. Je crois qu'elle me rend assez de service comme ça. Je ne suis pas trop bon, seulement, je lui dois quand même quelque chose. Je lui enlève la crème, et attend qu'elle se remet le haut, pour pouvoir revenir dans la salle principale. J'ouvre la porte, et retourne à mon bureau, ou mon garçon se met sur moi, pour jouer le docteur encore.

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MessageSujet: Re: Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac]   Les amis sont les anges qui nous soulèvent quand nos ailes n'arrivent plus à se rappeler comment voler [Isaac] EmptySam 22 Juin - 19:16



Je ne ferais pas le moindre faux pas en ce qui concerne le traitement de Mordred parce que je tiens trop à lui et surtout à sa santé. S’il faut que je le garde à la maison et le fasse garder par quelqu’un de la famille alors je ferais de mon mieux pour qu’il soit entre de bonnes mains. Bien entendu je resterais bien à la maison à ses côtés mais je ne peux pas forcément le faire en sachant que je suis professeur et que je m’occupe de classe qui comportent pas mal d’enfants. Je ne peux pas laisser les élèves sans professeur et nous mettre en retard dans le programme. La majorité du temps je préfère être auprès de mon fils c’est pour cela que je suis bien contente d’avoir put être professeur dans l’école où ce dernier est mais je sais très bien que je ne pourrais pas l’avoir tout le temps dans ma classe et surtout qu’à un moment donné il va devoir quitter l’école primaire et se rendre au collège et lycée et que je ne l’aurais plus dans mon champ de vision pendant la récréation, que je n’aurais que le téléphone portable pour avoir de ses nouvelles dans la journée. Je sais que je suis une mère poule et trop protectrice avec lui mais c’est mon petit bébé et pour rien au monde je ne voudrais qu’il lui arrive quelque chose.
 
Autant quand c’est moi qui suis malade je dois avouer qu’il m’arrive des fois d’avoir la flemme d’aller prendre mes médicaments parce que par exemple je suis allongé sur mon lit ou encore sur le canapé et que je n’ai absolument pas envie d’aller jusqu’à la cuisine chercher le sac de médicaments ou jusqu’à la salle de bain pour aller à l’armoire à pharmacie mais pour mon fils je décrocherais la Lune si ce dernier me le demande. Pour lui je suis capable de faire tous les efforts possibles y comprit bouger quand je n’en ai pas la force. Je ne suis pas du genre à en faire un enfant pourri gâté parce que je sais marquer des limites quand il le faut mais pour sa santé et son bien-être je me dépasse s’il le faut.
 
  « Evidemment pourquoi je ne voudrais pas vous revoir et puis je vous rappelle que je suis la maîtresse de votre fils et que je le garde souvent alors nous serons forcément amené à nous revoir monsieur Rebirth. »
 
Eviter de me surmener ? Je crois que ce n’est pas une chose qui va être trop compliquée. Je ne fais pas trop d’effort à l’école puisque je suis soit à mon bureau soit au tableau en train d’écrire des choses aux enfants pour qu’ils recopient ou encre qu’ils me fassent des exercices. Peut être que vers la fin de l’année cela sera différent au niveau du surmenage surtout si nous décidons de faire des sorties pour les enfants. Tout le monde sait bien que vers la fin de l’année les enfants ne sont plus trop dans l’apprentissage et que nous profitons du beau temps pour les amener faire des sorties dehors qui ont de temps en temps un petit rapport avec l’apprentissage comme pour les sorties musées ou dans des châteaux.
 
 « Ne vous inquiétez pas je pense que le surmenage ne sera pas trop de mise pour moi. Vous voulez peut être que je garde Enzo le temps que vous terminiez votre travail. Vous n’aurez qu’à passer le récupérer à la maison. Je pense leur faire à manger pendant qu’ils font leur devoir enfin que le mien fait ses devoirs et puis vous n’aurez qu’à le doucher ou le mettre au lit et prendre du temps pour vous. »
 
Cela ne me dérange absolument pas et son fils n’est pas du tout pénible il suffit de l’occuper devant la télévision avec des dessins animés ou encore avec une caisse de jouets et le tour et joué. Je me rhabille en remettant mon haut et je me lève pour aller rejoindre son bureau, je sors alors mon chéquier et attends que ce dernier m’annonce la somme pour nous deux.
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