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 « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo

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Kaïa N. Silverwood


Kaïa N. Silverwood

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☆ T'es où là ? : Soit chez mon frère Théo, soit à l'hôpital



« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptySam 8 Juin - 18:30



Kaïa & Théo :
"Mon frère, ce héros."
Son Ipod visé aux oreilles, Kaïa venait de sortir de l'hôpital, après y avoir passé de longues heures éprouvantes. S'imaginer que cela pouvait signifier qu'elle puisse être fatiguée serait bien mal la connaître. Depuis toujours, Kaïa avait besoin d'action, aussi détestait-elle être contrainte de rester inactive de longues heures durant. C'était sans doute pour l'action que sous-entendait travailler dans le milieu médical que Kaïa avait, dans son adolescence, accepté de changer de rêve de carrière.

Se dénouant les cheveux pour libérer sa crinière rousse, Kaïa dodelinait de la tête, en rythme sur la musique, tout en se rendant dans l'appartement de son frère, bien indifférente aux regards intrigués que pouvaient lui valoir son attitude. Elle ne s'en était jamais souciée lorsqu'elle était enfant, ça n'allait pas changer à 25 ans ! La jeune femme n'était pourtant pas perdue dans ses pensées, contrairement à ce que qu'on pourrait croire. Si tel avait été le cas, elle ne se serait pas arrêtée devant la vitrine d'une boulangerie, pour scruter avec envie les délices qui y étaient regroupés. Si certaines personnes, dans de tels cas de figures, éprouvent l'envie de s'engouffrer dans la boutique afin d'y acheter quelques pâtisseries, il n'en allait pas de même avec Kaïa. Non pas qu'elle ne soit pas gourmande !. Mais elle préférait faire ses gâteaux. Pour le plaisir de cuisiner. De faire plaisir à son entourage. Et aussi pour être sûre de n'ingurgiter sous aucun prétexte de l'arachide, ou n'importe quels fruits à coque, ne tenant que bien peu à voir son allergie se manifester ! C'est donc bien décidé à trouver une supérette pour acheter le nécessaire pour faire un biscuit roulé au chocolat qu'elle tourna les talons. Inutile de dire, lorsqu'elle en eut enfin trouvé une, qu'elle veilla aux produits qu'elle prenait.

Quelques minutes plus tard, elle fut de retour dans la rue, dans la fin de l'après-midi, avec une seule envie en tête : se glisser derrière les fourneaux. Drôle d'occupation, sans nul doute, pour une jeune femme de son âge. Mais la cuisine était pour elle un autre moyen avec son emploi prenant de détourner son attention des maints problèmes qui lui pourrissaient la vie. Avec, en tête, la culpabilité qu'elle se traînait depuis toujours quant à la mort de sa mère, ses relations tendues avec son père et parfois avec certains de ses frères. Mais aussi la maladie qui rongeait depuis des années Théo, son frère aîné qu'elle adorait (maladie qui était à l'origine de son retour à Lewis, des mois avant ce qu'elle avait prévu). Et plus récemment, le fichu accident de voiture dont elle avait été victime et qui lui avait bouffé une partie de ses souvenirs. Songeant à son amnésie, en attendant de pouvoir traverser la rue, Kaïa se fit la remarque, ironique, que quoi que son esprit ait oublié, elle ne se sentait pas pour autant différente de celle qu'elle était. Ou qu'elle aurait dû être...

Une nouvelle chanson se joua dans son baladeur, qui eut aussitôt pour effet de lui changer les idées, amenant des pensées plus douces. Non loin de l'appartement, elle sentit son portable vibrer dans la poche de sa veste. Tenant tous ses sacs dans sa main droite, elle attrapa son mobile de sa main gauche. C'est tout en conservant une oreillette reliée à son baladeur, et en collant son mobile contre son autre oreille libre, qu'elle prit l'appel, non sans soupirer, en voyant qu'il provenait de Noah. Son meilleur ami. Qui était bien plus que ça pour elle depuis bien longtemps, mais que l'amnésie lui avait fait oublié... Noah, qui l'appelait régulièrement. Le jeune homme était bien trop protecteur à son égard selon elle, mais elle en avait prit l'habitude, depuis le temps que durait leur amitié. C'est donc tout en tâchant de rassurer Noah qu'elle réussi à rentrer dans l'appartement de son frère. Réussi étant important ici, du fait qu'elle tenait des sacs de courses, son sac à main, et son portable (elle avait oublié son kit main libre à l'hôpital.), et qu'en dépit de cela, elle parvint à mettre la main sur ses clés, et à rentrer sans encombre. En temps normal, la jeune rousse aurait appelé son aîné, à peine le seuil de l'appartement franchi, même si elle ignorait s'il était là ou non, ne connaissant pas son emploi du temps par coeur (ce qu'il n'aurait sans doute pas apprécié la voir tenter de faire !). Mais là, étant au téléphone, occupée à convaincre Noah de l'inutilité pour lui de venir à Lewis aussi tôt (du moins, par rapport au bal), elle n'en fit rien. « Noah, franchement... Je vais bien. Et je travaille dans un hôpital. Un hôpital, tu comprends : je suis toujours avec des médecins. Je suis médecin moi-même. Et Théo également. Sérieusement, tu n'as pas à t'en faire pour moi » soupira-t-elle tout en posant ses sacs sur le comptoir de la cuisine, se doutant bien de la stupidité de ses arguments, étant donné que Théo pouvait lui opposer les mêmes. « Tu as du boulot, alors ne viens pas maintenant : le bal n'est que dans quelques jours. Rien ne presse ! Tout est sous contrôle ! », conclut-elle, bien loin de se douter que c'est sur ces mêmes paroles qu'elle avait clôt leur dernière conversation, avant son accident, en taxi. La jeune femme jeta sa veste sur le canapé, et coupa son baladeur, avant d'entreprendre de faire le tour de l'appartement, pour vérifier si son frère était présent ou non. Réflexe qui pouvait certes paraître idiot, mais elle avait toujours la crainte de le découvrir inconscient, voire même pire, bien qu'elle refusait d'y penser...

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Théo A. Silverwood


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MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptySam 8 Juin - 23:03



Kaïa & Théo :
"Mon frère, ce héros."
Il ne bossait pas cet après-midi, prévenant qu'il ne se sentait pas en état de « travailler ». Il alla rejoindre son appartement. Il espérait ne pas tomber raide pendant le trajet. Il se tenait tout de même au mur pour éviter un nouvel accident. Il se sentait vraiment faible, pourtant il avait pris le traitement. Il lui avait été proposé une nouvelle opération, pour lui donner un « organe » plus important. Il avait mis en attente sur le répondeur. Il ne voulait pas passer dans une chambre toute son éternité.Il n'avait pas mis au courant sa sœur. Il se doutait qu'elle serait contre de toute manière, et qu'elle le forcerait à passer sur la « table du billard » pour se faire opérer pour la deuxième fois. Il entra péniblement à l'intérieur, avant de se précipiter pour ''vomir'' du sang comme la maladie l'imposait. Il n'en pouvait plus de vomir surtout depuis la « rechute » c'était vraiment insoutenable. Il restait accroché aux toilettes, en suppliant d'arrêter ce « cauchemar », heureusement que ça n'arrivait pas tout le temps. Ils arrivaient souvent après le traitement, ou quand il était vraiment mal au point, comme maintenant. Il se redressa au bout de quelques minutes, et se dirigea dans sa chambre, manquant de tomber violemment. Il se rattrapa, mais pour quelques secondes, avant que ses membres lâchent, et s'écroule au sol.

Il entendit des bruits de pas, ceux de sa sœur, qui rentrait de son travail, pour venir s'occuper de lui, comme un enfant. Il n'aimait pas savoir qu'elle était là, uniquement pour « l'aider » dit-elle, comme s'il était un handicapé. Elle se comportait comme une « mère poule » qui s'inquiétait pour son enfant. Il était mourant, mais ce n'était pas de maintenant. Il pouvait très bien s'occuper de sa personne, sans l'aide d'une personne, même s'il adorait sa rouquine. Il se rendait encore plus malade, en sachant qu'il était responsable de son « amnésie », et qu'il n'aurait pas dut lui dire qu'il était en rechute de sa « leucémie » depuis huit mois déjà. Il essaya de se redresser, manque de beau, ce n'était vraiment pas sa chance. Il ne voulait pas que sa sœur l'aperçoive dans un état aussi pitoyable, alors qu'il se portait bien. Il ne s'agissait seulement du traitement, qui réagissait mal avec son corps. Il y avait également que la maladie « avançait » doucement, avant que son corps ne soit plus capable de se défendre. « Tu as du boulot, alors ne viens pas maintenant : le bal n'est que dans quelques jours. Rien ne presse ! Tout est sous contrôle ! » affirme-t-elle, en se disant qu'il n'y a rien sous contrôle, sinon sa maladie serait arrêter, et il pourrait recommencer normalement. Il ne le pouvait pas, sa maladie était là depuis toujours, et ça le rongeait comme un « ver » avec une pomme. Il ne supportait pas à l'idée d'abandonner sa famille, mais il ne tiendrait pas longtemps. Il était de plus en plus malade, et faisait des « journées » courtes pour prendre son traitement, ou quand sa maladie rebutait pour l'enfermer dans sa chambre, en écoutant de la musique. 

Il accourut rapidement aux toilettes, pour vomir de nouveau, en n'essayant de pas sombrer à côté. Il s'essuie la bouche proprement. Il décide d'aider sa sœur à ranger ses courses, même si son médecin lui a recommandé du « repos ». Il écoutait, ce n'était pas le problème, il ne pouvait pas rester sans bouger. Il était une boule énergique, qui même malade, voulait toujours être serviable. Il commença à vider les poches, quand son nez se met à saigner, toujours quelque chose qui n'allait pas. Et pourtant hier tout allait mieux, mais ce n'était pas le cas pour aujourd'hui, ou vraiment il allait impression de se laisser « mourir » en train de saigner partout. Il se demandait même combien de litre, il avait perdu dans tout ça. Il mangeait de la viande pour récupérer, ce n'était pas le problème, et vraiment si nécessaire, il avait l'hôpital qui se chargeait de lui remettre des litres pour récupérer normalement. Il prit plusieurs mouchoirs qui se mit à son nez pour empêcher le sang de coulait. Il n'y avait aucun problème, avait dit le médecin cela devrait se calmer doucement. il attendait depuis quelques minutes déjà, et ça ne se terminait pas. Il avait vraiment impression que sa date de mort s'approchait à grand pas. « Combien de litre, crois-tu que je perds, d'après toi ? » demande-t-il de son air toujours enjoué, même si ce n'était pas le moment. Il préférait se distraire, par un truc totalement stupide. Il ne savait pas quoi rajouter, et il s'ennuyait cet après-midi, qu'il préférait compter quelque chose. Il y avait mieux à compter que le sang qui s'écoulait de son corps, mais c'était la première chose qui lui était venu à l'esprit, en voyant tout ce sang coulait en dehors. Il aurait pu trouver mieux. Il continua à ranger les ingrédients, ne voyant pas le côté « négatif ».

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MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyLun 10 Juin - 14:39



Kaïa & Théo :
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La jeune femme fronça les sourcils en entendant du bruit en provenance des toilettes, ce qui la fit se figer d’un seul coup. Elle avait beau avoir l’habitude de la maladie de son aîné, elle n’arrivait toujours pas à s’y faire. Comment pourrait-elle se faire à l’idée que bientôt, bien plus tôt que cela ne devrait être permit, Théo lui serait retiré ? Il avait toujours été une véritable ancre qui avait stabilisée sa vie à chaque fois qu’elle avait l’impression que celle-ci partait à la dérive et un réel pilier autour duquel elle avait construit une grande partie de sa vie. Il était simplement une partie d’elle, et savoir qu’elle devra continuer sa vie sans bénéficier de ses conseils, à n’importe quelle heure, lui vrillait le ventre, à chaque fois qu’elle y songeait. Ce fut Noah qui la força à quitter ses sombres pensées en lui rappelant sa présence, à l’autre bout du fil, lui demandant si tout allait bien. « Ca va ! », répondit Kaïa, agacée, songeant que non, décidément, rien n’allait ! Entre la leucémie de son frère et son amnésie à elle, comment ça pourrait décemment aller ? Instantanément, Noah sentit que le moral de la rouquine n’était pas au mieux, contrairement à ce qu’elle se plaisait à prétendre. Et ça mit Kaïa en rogne d’être un véritable livre ouvert pour son ami, à tel point qu’en retournant à ses sacs (sachant que Théo ne supporterait pas vraiment de la voir accourir à ses côtés), elle prétexta être dans l’obligation de mettre un terme à la conversation téléphonique. Afin d’avoir les mains libres pour déballer ses achats. Ouais, c’était une excuse à la con, mais elle ne voulait pas sentir que Noah se sentait impuissant à l’autre bout du fil. Elle avait certes oublié qu’ils étaient un couple, mais se souvenait parfaitement qu’ils se connaissaient bien. Et si Kaïa avait horreur de quelque chose, c'était bien de se sentir faible, pour quelque raison que ce soit, alors qu'on détecte sa faiblesse l'agaçait prodigieusement !

La jeune femme était occupée à commencer à déballer les sacs, ayant rangé son mobile dans sa poche, lorsque Théo arriva pour l’aider. Tout en s’affairant, elle leva les yeux pour observer son aîné, une lueur d’anxiété dans le regard. Il pouvait bien se donner tous les airs enjoués et guillerets qu’il voulait, elle le connaissait, et même si elle n’avait pas été dans le corps médical, elle aurait compris qu’il était au plus mal. Le nez de son frère se mit à saigner, faisant froncer les sourcils de Kaïa, qui fut forcée de se mordre les lèvres pour l’inciter à aller se reposer au lieu de l’aider. Mais elle n’en fit rien, sachant qu’il n’en ferait qu’à sa tête. Sans oublier, qu’égoïstement, elle voulait passer le plus de temps possible avec lui, tant que cela était encore possible. Elle déposa une brique de lait au frigo alors que Théo s’occupait de ses saignements, pour finalement l’interroger sur la quantité de litre de sang qu’il pouvait bien perdre. Tournant toujours le dos à son frère car étant toujours vers le frigo, Kaïa poussa un soupir en levant les yeux au ciel. Une partie d’elle en avait assez de le voir toujours tout tourné à la dérision, mais une autre l’en remerciait, se sachant incapable de le voir dépérir sans avoir la force de rire. Car s’il cessait d’agir ainsi, là, ça serait vraiment le signe qu’il était réellement au plus mal. Elle marqua un petit temps de silence, le temps d’être sûre que rien dans son attitude ne manifeste à quel point elle était touchée par la situation, se doutant que Théo en viendrait forcément à culpabiliser de lui causer de la peine, même s’il n’était pas en cause... « Apparemment, pas assez pour t’empêcher de dire des conneries ! », s’écria-t-elle enfin, en retournant, pour s’affairer afin de ranger les quelques morceaux qui restaient dans les sacs. Une fois que le binôme eut enfin tout mit en place, elle esquissa un petit rire en fixant Théo : « Tu sais qu’avec tes mouchoirs dans le nez, t’as l’air un peu ridicule. » Elle n’était pas aussi douée que Théo pour tout prendre à la rigolade, mais s’y efforçait pour lui, redoutant que si elle craquait, il finisse par craquer lui aussi et cesser de se battre. « J’ai envie de faire un roulé au chocolat. Tu peux aller te reposer le temps que je le fasse, je te réveille lorsqu’il est prêt à déguster, si tu veux ! » Elle n’était que très peu convaincue que son frère accepte, mais elle ne risquait rien à tenter, non ? Et puis, il avait une tête de déterré, alors, qu’il refuse, et elle l’amènerait par la force jusqu’à son lit. Paradoxal, lorsque l’on sait, comme cela a été dit plus tôt, qu’elle voulait passer le plus de temps possible en sa compagnie, mais Kaïa était habituée à être bizarre, même elle se trouvait parfois compliquée à suivre...


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Dernière édition par Kaïa N. Silverwood le Lun 10 Juin - 20:07, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyLun 10 Juin - 16:05



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Il s'ennuyait. Il était depuis l'après-midi dans sa chambre, ou aux toilettes pour vomir ses entrailles. Il devait s'occuper, en se posant des questions, même idiotes, mais cela l'occupait, et le rendait toujours aussi enjoué que d'habitude. Il préférait voir les choses, du bon côté, même si c'était agaçant. Il commençait à tout déballer, en demandant à sa sœur, combien de sang il avait perdu aujourd'hui. Il fallait avouer que c'était idiot, mais c'était le comportement enjoué du bel homme. Il avait vomis du sang, maintenant, ainsi que saigner du nez, ça devrait pas dépasser quelques litres, même si c'était toujours récupérable. Il pouvait se faire opérer, mais aller convaincre une tête de mule. « Apparemment, pas assez pour t’empêcher de dire des conneries ! » s'écria-t-elle. Il ne voulait pas heurté sa sœur, mais que pouvait-il changer, après tout il était malade depuis son arrivée. Il aimerait pouvoir guérir, après l'opération, mais cela ne l'avait donné encore plus de complication. Il se battait pour combattre la « leucémie », et pouvoir rester longtemps. Il ne put s'empêcher de sourire, à la remarque de son enfant, même si c'était sa sœur. Il s'était occupé d'elle, comme si c'était son « enfant », et avait fait son maximum pour la rendre heureuse. « Il peut être toujours intéressant de le savoir! » répondit-il, en continuant de sourire, en se changeant le mouchoir, en basculant la tête, pour que ça ne coule pas partout. Il aurait pu s'amuser à l'effrayer avec du sang sur les mains, comme un « meurtrier », même si cela aurait inquiéter davantage. « Tu sais qu’avec tes mouchoirs dans le nez, t’as l’air un peu ridicule. » rit-elle. Il n'en doutait pas une seule minute, même quelques camarades, lui répétait qu'il devait jouer dans un film « d'horreur » avec le sang et les mains sanglantes, comme s'il avait commis un crime irréparable. Il se mit à rigoler également, avant de commencer à se pencher sur le chocolat. Il aimait le chocolat, c'était une source de réconfort, même quand c'était au plus bas du moral, il mangeait, et redevenait automatique « enjoué » miracle. Il mit un mouchoir dans son nez, avant de se laver les mains, pour pouvoir aider sa sœur pour préparer son gâteau. Il allait pouvoir se régaler, en comptant les pépites de chocolats, sur sa part comme un imbécile heureux. « Comment ça, j'ai l'air « ridicule » ? Attention, mademoiselle, vous allez être privée de gâteau ! » plaisanta-t-il, comme s'il avait pris sa sérieusement, mais qui n'était qu'une blague taquine. Il ne fallait pas se vexer, Alli était quelqu'un « d'enjoué » qui prenait tout au premier degré. Ils ne comprenaient pas, comment pouvait-il être « enjoué » alors qu'il allait bientôt mourir.

Il était le seul vraiment heureux, même dans des moments, ou il se retrouve pendant trois heures, en train de rendre ses entrailles, et de dormir pendant des heures, comme s'il pouvait se le permettre. Il savait parfaitement son « diagnostique ». Il était lui-même médecin, et savait qu'il n'allait pas tarder à lâcher son dernier « souffle » aussi malheureux soit-il. Il avait encore le temps, donc autant qu'il s'amuse, pour ne rien devoir regretter, à part abandonner sa sœur qu'il aimait énormément. « J’ai envie de faire un roulé au chocolat. Tu peux aller te reposer le temps que je le fasse, je te réveille lorsqu’il est prêt à déguster, si tu veux ! » ordonne-t-elle, pour lui faire comprendre le bien-fait d'une « sieste » en milieu d'après-midi. Il se mit de nouveau à souffler, en voyant qu'elle se comportait comme une « mère poule » envers son poussin, qu'elle devait absolument protéger. Il allait parfaitement bien, mais cela ne l'empêchera pas d'être autant borné que sa sœur. Il fit une moue adorable, pour la faire céder, même si son propre choix était faim. Il ne tardera pas à tomber raide mort, cependant, il se sentait ballonner depuis un moment, ce qui signifiait vomissement. Il s'était habitué, même s'il passait sa journée aux toilettes, à se demander, comment il allait pouvoir récupérer son sang, la réponse était simple « hôpital ». On lui avait prévenu, qu'il y retournerait rapidement. Il devait faire des examens, mais également lui remontait son taux de globule rouge, pour ne pas tomber raide mort. Il était bien obligé, mais il viendrait demain, pour le moment, tout se passait parfaitement bien. « Je vais t'aider à le préparer ! Je n'ai pas besoin de récupérer ! J'ai déjà récupérer y a quelques heures ! » réplique-t-il, avant d'observer la « recette ». Il commençait à déplacer les ingrédients, pour pouvoir mettre le plat, pour le premier mélange. Il mit les premiers ingrédients, même si ça lui tardait de mettre le doigt, pour goûter. Il observa d’œil sa sœur, qui commençait déjà à le gronder du regard. Il avait passé l'âge de se faire « gronder » ou rétorquer pour une connerie, même si c'était plutôt qu'il était une vrai « tête de mule ». Elle aura beau essayer, mais à moins de tomber de raide, cela ne le fera pas changer d'avis. Il était déterminé, et quand avait une « idée » en tête, il ne changeait pas d'avis, surtout qu'il voulait « profiter » des derniers moments en sa compagnie. Il n'allait pas dormir, et regretter de ne pas préparer un bon gâteau au chocolat, tout de même. « Quoi ? Je n'ai pas besoin de me faire gronder ! Je n'ai rien fait encore de stupide, mise à part ne pas vouloir dormir ! Je n'ai plus le droit de préparer un gâteau avec ma sœur préféré, maintenant ! » rajoute-t-il, en fronçant le regard de désaccord, par rapport à sa sœur, qui était bien décidé à avoir le dernier mots, ce qui montrait qu'ils étaient mal barrer. .

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MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyLun 10 Juin - 20:54



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« Il peut être toujours intéressant de le savoir! » Un léger sourire apparut sur les lèvres de la rouquine à la réflexion de son frère. « D’autant plus qu’avec toi, la limite à ne pas atteindre doit être différente des gens normaux ! » Une lueur taquine dans son regard ainsi qu’un accent moqueur dans sa voix montrait bien qu’elle n’en pensait pas un traître mot. Que certaines personnes s’amusent à trouver Théo bizarre, elle s’en moquait et n’y avait même jamais accordé la moindre importance. Bien entendu, elle n’avait jamais résisté à l’envie de se moquer gentiment de son frère, comme elle le fit par la suite avec sa remarque sur le ridicule qui ressortait de son apparence actuelle. Sortant une balance, elle secoua la tête lorsque Théo évoqua la possibilité qu’elle soit privée de gâteau. Le sourire de la rouquine se dissipa aussitôt pour laisser place à une moue ouvertement boudeuse, digne de celle que pourrait faire une enfant de 5 ans en découvrant qu’on la privait de son bonbon préféré. « Priver quelqu’un du gâteau qu’il a aidé à faire : je ne te savais pas aussi cruel ! » Son visage était toujours boudeur, mais son regard était plus amusé qu’agacé. Enfin, agacée, elle l’était en le voyant debout, et tenait bien à l’envoyer se reposer, mais ne comptait pas se priver de le charrier un peu auparavant. Evidemment, son désir de l’envoyer se coucher ne plut guère à son frère, qui souffla pour montrer sa réprobation. Bien entendu, elle n’en était guère étonnée. Si les rôles avaient été inversés, elle agirait exactement de la même manière. Elle avait agit de la même manière, lorsqu’elle était tombée malade, au cours de son enfance, et qu’il avait prit soin d’elle, en stupide frère aîné surprotecteur qu’il avait été, et qu’il était toujours.

Ce fut à son tour de souffler en voyant la moue qu’il lui lançait pour la faire céder. La jeune femme secoua la tête, désœuvrée, se demandant intérieurement ce qu’elle pourrait bien faire de lui. Fichue famille Silverwood, dont les membres étaient plus têtus les uns que les autres... Théo était déjà en train de s’activer, après lui avoir fait savoir qu’il comptait bien l’aider. Posant ses mains sur ses hanches, Kaïa jeta un regard noir à son aîné, le regard qui vous dit que vous agissez n’importe comment, comme un enfant. Oui, Kaïa agissait en véritable mère poule, les rôles s’inversaient parfois, entre eux, ça avait souvent été le cas dès que Kaïa avait été en âge de se montrer un tant soi peu mature. La jeune femme s’apprêtait à faire savoir à son aîné qu’il agissait comme un enfant capricieux, mais celui-ci la devança. « Ta sœur préférée, qui, entre nous, est la seule que tu aies, aimerait te faire remarquer que tu es un véritable gosse ! » Nouant ses cheveux en une queue de cheval lâche (ne tenant guère à mettre des cheveux dans la pâte à gâteau), elle alla se laver les mains, tout en déclarant : « Et je tiens aussi à souligner qu’un gâteau au chocolat est légèrement moins bon avec du sang à l’intérieur ! » Les mains maintenant propres et sèches, elle retourna vers Théo, pour l’aider dans la préparation, ne sachant que trop que la conversation était stérile, tous deux étaient bien trop têtus pour s’avouer vaincus. « Reste, mais si jamais tu commences à mettre du sang partout, de quelque manière que ce soit, je te jure que je te traîne par l’oreille jusque dans ton lit ! » Attrapant un œuf, elle accrocha le regard de son aîné, pour lui faire comprendre qu’elle ne plaisantait pas. Elle avait certes céder à son caprice, mais ne céderait pas si son état, déjà bien misérable, venait à empirer ! « De plus, c’est moi la chef pâtissière, autoproclamée, certes, mais c’est tout de même moi ! Alors, commis : tiens-toi à carreaux, veux-tu ? » Et voilà comment en quelques secondes, Kaïa passait d’un gros savon à un sermon teinté de vanne... Après tout, comment garder son sérieux avec Théo ? Si vous savez comment y parvenir, elle est preneuse !

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MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyLun 10 Juin - 22:10



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« D’autant plus qu’avec toi, la limite à ne pas atteindre doit être différente des gens normaux ! » taquina-t-elle. Il fronça les sourcils, ne comprenant pas pourquoi il était spécial, ou même pas normal. Il était simplement trop curieux, à toujours se poser des questions inutiles, ou intéressantes. Il voyait un bon côté à chaque chose, et c'était ce qu'il comptait chercher à chacune de ses questions. Il trouvait que c'était intéressant, comment réagissait chaque personne aux traitements. Il saignait beaucoup, seulement en prenant le traitement, qui le fatiguait énormément, plus qu'à l'accoutumé. « Je ne vois vraiment pas de quoi tu parles ! Je te signale que tu es plus folle que moi, dans tous les cas ! Je crois que c'est pour ça que je t'adore ! » répondit-il, en voyant que ce n'était qu'une « taquinerie ». Il avait remarqué avec son accent moqueur pour montrer qu'elle ne le pensait pas. Et encore heureux, sinon il aurait pu mal le prendre, même si c'était quelqu'un qui prenait tout au second degré d'habitude. Il continua à regarder la recette, avec un sourire triomphant, comprenant parfaitement. Il tourna légèrement la tête, en voyant qu'elle s'était soudainement arrêtée. Elle fit la moue, comme une enfant de cinq ans, qu'on aurait dit « non » pour une sucrerie. Il haussa les sourcils, en entendant une explication. « Priver quelqu’un du gâteau qu’il a aidé à faire : je ne te savais pas aussi cruel ! » boude-t-elle, à cause de son discours de tout à l'heure, par rapport au gâteau de chocolat. Il rigola discrètement, en la voyant se comporter tel un « enfant » qui boude par rapport à une punition d'un gâteau. Il ne put s'empêcher de prolonger sa plaisanterie, même si cela n'était qu'un amusement. Il adorait taquiner, ou même s'amuser comme des enfants avec sa petite sœur. Il n'était qu'un grand enfant, assez mature pour s'occuper de Kaïa, mais également pour s'occuper d'un appartement tout seul, et avoir un travail de médecin. Il se comportait comme ça uniquement avec ses proches, ou avec sa famille, c'était pour dire que c'était quand même un cas spécial, mais c'était pour ça qu'on l'aime, non ? « Tu auras le droit de lécher la cuillère seulement si tu es sache, ma chérie ! » rajouta-t-il, en se mettant à rigoler, tellement que le mouchoir tombait. Il prit un autre mouchoir pour le mettre à sa narine, même si ça commençait à ralentir. Il fallait croire que le traitement s'était arrêté de faire son effet indésirable. Il pourrait souffler un peu avant que la fatigue retombe comme d'habitude.

« Ta sœur préférée, qui, entre nous, est la seule que tu aies, aimerait te faire remarquer que tu es un véritable gosse ! » fit-elle la remarque, en se comportant comme une maman poule. Il haussa un sourcil, en entendant le mots « gosse ». Il ouvra la bouche, outré par ce qu'elle venait de dire par rapport à son comportement. Il n'était pas un gosse, mais un grand enfant, c'était différent, largement différent. Il s'assumait complètement. Il fallait dire que c'était elle qui le rendait comme ça. Il était gaga de sa petite sœur, c'était son rayon de soleil, après tout. Il fronça les sourcils, en remontant sa lèvre inférieur sur l'autre, pour faire sa moue vexée, qui reflétait bien qu'il était un enfant. « Je ne suis pas un enfant ! Je ne te le permets pas ! Oui, tu es la seule sœur, et encore heureux ! » dit-il, d'un air boudeur, faisant comprendre que si vraiment il en avait d'autre, comment il ferait pour les faire obéir, et amadouer surtout. Il pourrait faire même un orphelinat avec ses frères et sa sœur. Il était tellement nombreux. Et si sa mère serait encore de ce monde, elle voudra former un clan ceux des Silverwood. Ils vont tout décapés, et créait le deuxième « big bang » qui battrait tout le monde. Elle se fit une queue de cheval, pour ne pas tomber les cheveux dans le plat, déjà qu'il y aura du sang, faudra pas rajouter des cheveux, cela provoquerait une mort certaine. « Et je tiens aussi à souligner qu’un gâteau au chocolat est légèrement moins bon avec du sang à l’intérieur ! » avertit-elle, même s'il était déjà au courant. Il ferait attention à ne pas en mettre partout. Il serait dommage de gâcher un gâteau uniquement avec du sang du bel homme. Il n'était pas bête, et pouvait comprendre qu'un moment donné, il devra se replier pour se reposer, si les saignements continuaient à reprendre de plus belle. Il s'était calmé depuis un moment, donc inutile de partir maintenant, c'était beaucoup trop tôt. Il hocha la tête, montrant son approbation, en souriant bêtement. « Je le sais parfaitement, maman ! Je crois que les saignements se sont calmés, donc aucune inquiétude ! » explique-t-il. Il allait rassuré sa sœur, qui s'en faisait tellement, qu'elle était là pour s'occuper de son frère malade. Il la regarda se laver les mains, en se demandant s'il était lavé correctement les mains, ou non ? Il était bordélique, et complètement maladroit. Il pourrait perdre sa tête, si elle n'était pas accrochée. Il se relava pour la deuxième fois, se moquant des moqueries, parce qu'il avait oublié qu'il s'était déjà laver convenablement.

« Reste, mais si jamais tu commences à mettre du sang partout, de quelque manière que ce soit, je te jure que je te traîne par l’oreille jusque dans ton lit ! » prévient-elle, comme une mère qui prévenait son enfant, que s'il venait de faire une bêtise, elle lui tire les oreilles pour le punir. Elle n'avait pas le droit, il était plus vieux qu'elle après-tout. Il ne pouvait pas, la gronder, ou lui tirer les oreilles, uniquement parce qu'elle en aurait envie. Il fit une mine choqué, voyant comment elle était agressive, maintenant. Et pourtant avant elle était prête à se jeter sur lui. « Non, tu oserais me faire ça ! Je te préviens que je suis le plus mature entre nous deux ! » dit-il d'un ton pas sérieux du tout, du moins, la première phrase l'était. Il savait que c'était pas totalement vrai, que ça dépendant des moments, quand il était plus mature qu'elle, ou même plus idiots quand il était d'humeur vraiment enjoué, comme d'habitude. Il n'avait pas envie de dormir en plus de ça. Elle n'allait pas lui fermer les yeux pour le forcer, quand même. Il ne savait pas que sa sœur était aussi méchante que ça également. « De plus, c’est moi la chef pâtissière, autoproclamée, certes, mais c’est tout de même moi ! Alors, commis : tiens-toi à carreaux, veux-tu ? » demanda-t-elle, en expliquant les règles. Il se mit à sourire amusé, car effectivement elle n'était pas réellement la chef, vu que personne ne l'avait proclamer officiellement. Elle était la chef cependant dans la maison, vu qu'il n'avait pas trop la tête à cuisiner, en tant que malade, et médecin. Il avait des papiers à compléter, et des coups de téléphones à passer. Il se tient toujours à carreaux. Il était pratiquement invisible par moment, même si ces questions, était vraiment idiotes, ou inutiles pr moment, mais quand il était impatient, ou qu'il s'ennuyait à attendre, il ne pouvait pas s'en empêcher. « Oui, mini-chef ! » s'amusa-t-il à dire, en mettant sa main sur son tempe, pour montrer son obéissance -c'est à vérifié malgré tout-. Il aida sa sœur à casser des œufs dans le plateau, avant de les battre comme c'était écris sur la « recette » magique. Il rajouta ensuite la farine, et comme d'habitude, il avait toujours une question stupide à poser, en battant le tout, avant qu'elle ne déverse doucement le lait, comme était indiqué pour faire le gâteau au chocolat. « Combien y a-t-il de grumeaux dans la pâte ? » demanda-t-il, en regardant attentivement la pâte pour les compter.

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Kaïa N. Silverwood


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« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyMer 12 Juin - 15:27



Kaïa & Théo :
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La jolie rousse fronça les sourcils, aussi bien en entendant son frère prétendre ignorer pourquoi il était différent des autres, qu’en l’entendant lui dire qu’elle était la plus folle des deux. « Ca n’est un secret que pour de rares abrutis que tu as encore une âme d’enfant. Et que je suis exactement comme tu m’as élevée... ». Elle marqua un temps de silence avant de déclarer : « Ce qui fait de moi une personne aussi étrange que toi ! Fort heureusement, j’assume cela parfaitement ! » Et c’était encore heureux, au vu de la moue boudeuse qu’elle lança à son frère, lorsqu’il évoqua la possibilité qu’elle ne puisse déguster le gâteau qu’ils s’apprêtaient à faire. A croire que dans la famille Silverwood, il était héréditaire d’être têtu et régulièrement immature, surtout entre Silverwood... Toutefois, il n’est pas dit que beaucoup de personnes souhaiteraient les faire changer, s’ils en avaient le pouvoir. En tout cas, Kaïa ne changerait pour rien au monde, pas plus qu’elle ne souhaiterait faire changer son frère. Même lorsqu’il lui faisait de telles blagues, se prétendant être magnanime lorsqu’il déclara qu’elle pourrait lécher la cuillère, si et seulement si elle était sage. Kaïa grimaça, tout en faisant froncer son nez, avant de lancer, le plus sérieusement du monde : « Je suis toujours très sage, j’ai été très bien élevée, moi ! » Bien évidemment, elle avait conscience que sa réplique était vaine, du fait que son frère l’avait élevée, du moins, en grande partie, leur père n’ayant été aux côtés de Kaïa que de manière lointaine, très lointaine, même. Mais elle n’allait tout de même pas lui faire des compliments, alors qu’ils étaient en train de se chamailler. Gentiment, certes, mais chamailler tout de même ! Et se chamailler avec Théo n’empêchait nullement Kaïa de le couver, en véritable garde-malade qu’elle était.

Cependant, sa moue boudeuse disparue en voyant celle que faisait son aîné. Comment voulait-il qu’on ne le prenne pas pour un enfant en faisant une telle mimique, aussi bien en affirmant qu’il était adulte et soulagé de n’avoir qu’une soeur ? « Très bien, il n’y a pas plus adulte que toi », mentit-elle en faisant rouler ses yeux, accentuant bien qu’elle n’était guère convaincue. « Et je proteste : c’est dommage que tu n’aies qu’une sœur ! On t’aurait fait tourner en bourrique, encore pire que j’ai pu le faire toute seule ! », déclara-t-elle, fière d’elle. En fait, elle n’était guère convaincue, car elle aurait été obligée de partager Théo avec ses autres sœurs, et ça n’aurait pas été cool, elle préférait l’avoir pour elle toute seule. Kaïa avait une certitude très importante : il n’y avait qu’elle qui ait le droit de l’embêter ! Que ça plaise ou non ! Même s’il est vrai qu’elle aurait aimée avoir une ou deux sœurs : après tout, grandir entourée de garçons n’étaient pas toujours facile !

Un nouveau sourire se dessina sur ses lèvres lorsqu’il l’appela maman. Ca l’amusait toujours quand il le faisait. Elle était mère poule, et en avait conscience. C’était déjà une bonne chose, non ? Elle eut un petit rire en le voyant aller se laver les mains, qu’elle ponctua d’un : « Tu fais très adulte là, c’est clair ! », des plus tendrement moqueurs. Bien décidée toutefois à ce que rien n’entrave la réussite du gâteau, elle lui fit savoir qu’elle était prête à l’emmener se coucher en cas de nouvelle crise sanglante. La remarque qu’il lui fit fit naître un petit rire chez Kaïa. « Ecoute, si ça te fais du bien de le croire, je ne vais pas te contrarier, hein ! ». La maturité étant toujours variable, aussi bien chez l’un que chez l’autre, elle ne s’étala pas sur le sujet, trouvant juste drôle qu’alors qu’il faisait l’enfant, il clamait être mature. « Oui, mini-chef ! », dit Théo suite au petit discours qu’elle avait lancé sur le fait qu’elle était la chef en cuisine. Ce qui valu à l’aîné des Silverwood une tape amusée sur le sommet de la tête. : « Je suis une grande chef, voyons ! On vend mes recettes dans le monde entier ! ». Oui, Kaïa restait rarement sérieuse, surtout en compagnie de son frère... Il avait vraiment une mauvaise influence sur elle ! A moins que ça ne soit elle qui en ait une très mauvaise sur lui, c’est difficile à dire, au vu de la question qu’il posa par la suite. « Je sais pas... », fit-elle tout en préparant le beurre pour l’incorporer dans le mélange : « On prend des paris et tu les comptes pour savoir qui se rapproche le plus de la vérité ? », proposa-t-elle alors. Et, vous voulez savoir le pire ? Elle était vraiment sérieuse. Ce qui est pas mal flippant, étant donné qu’elle disait des conneries, et avait un couteau à la main... Les Silverwood, c’est connu, sont complètement étranges ! « Je propose... 618 grumeaux ! ». Ayant finit de couper le beurre, elle attendit alors le pronostic de son frère, avant de connaître le verdict. On s’occupe comme on peut !

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Théo A. Silverwood


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« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyMer 12 Juin - 17:47



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« Ça n’est un secret que pour de rares abrutis que tu as encore une âme d’enfant. Et que je suis exactement comme tu m’as élevée... » dit-elle, avant de se poser un moment, avant de se remettre à parler. « Ce qui fait de moi une personne aussi étrange que toi ! Fort heureusement, j’assume cela parfaitement ! » déclare-t-elle, en boudant. Il devait faire un « déni » sûrement, pour ne pas l'admettre complètement. Il était seulement le seul à ne pas le savoir, vu que le monde entier le connaissait, en tant que « grand enfant » même ses collègues au travail, le savait parfaitement. Il haussa les sourcils, en ayant du mal avec son affirmation, sur le fait qu'il est élevé seul. Elle voulait dire qu'elle était également une « grande enfant », et qu'elle assumait complètement. « Je n'ai pas une âme d'enfance ! Je suis seulement « enjoué » c'est différent ! Je t'ai élevé comment ? » souligna-t-il, pour voir comment elle voyait son « éducation » même si elle n'était pas la meilleure. Il s'était à fond, pour s'occuper de Kaïa, comme sa mère aurait voulu. Il ne regrettait rien. Elle était comme il avait « imaginé », quand il rêvait d'avoir une sœur. Il était le plus comblé des « pères » du monde entier, et même de l'univers. Il dirait ça sans même avoir honte, que cela ne voulait absolument rien signifier, qu'une bêtise aussi énorme, que dirait les adolescents, ou les enfants, montrant leur amour à leur parent. Il repensait au mots « étrange », d'où elle tenait qu'il était étrange ? Il n'était pas étrange, ou même bizarre. Il avait un travail normal, il se comportait comme un enfant, mais en restait pas moins un adulte responsable. Il se mit à faire la même moue, pour montrer son désaccord. Il n'était pas étrange. Elle assumait être « étrange » alors qu'il avait encore du mal à l'accepter, se trouvant dans la norme. Il fallait lui demander, ce qui n'était pas dans la norme. Il vous répondrait une connerie, comme d'habitude. « Oui, tu peux le dire, que tu es étrange, d'assumer que tu es étrange, alors que tu ne l'es pas ! » affirme-t-il, en relevant les sourcils. Il avait même promis que si elle était sage, elle pourra manger du gâteau. Il était gentil non d'accepter quelque chose, sachant qu'elle n'était pas tout le temps « sage », en vu qu'elle le privait des choses anodines, à cause de sa leucémie. Il avait toujours appris à vivre avec la maladie, et s'était même habitué à tout ce qui rendrait malheureux quelqu'un. Il était peut-être bizarre, mais il assumait, ne voulant pas sombrer, pour abandonner deux femmes merveilleuses. Il se battrait au bout de ses forces, pour le moment de reposer en paix, quand elle aura plus besoin de lui. Il y aura un moment quand elle se mariera, et qu'elle aura des enfants, ou il pourra rejoindre les étoiles, pour veiller sur elle, comme il a toujours fait.

« Je suis toujours très sage, j’ai été très bien élevée, moi ! » avoua-t-elle, en tirant un sourire sur le visage de son frère. Il était fier de sa sœur. Il était vrai que malgré son enfance ou elle était plutôt agitée, elle était une enfant assez sage, qui consumait ses forces pour de bonnes causes, et qui avait voulu devenir médecin dans la neurologie, en voyant la leucémie de son frère évoluait doucement. Il ne pouvait pas changer le monde, il avait cette maladie depuis toujours, et ne pouvait que lutter pour trouver une remède. Il ne prit pas la peine de répondre, mais seulement de l'embrasser sur la joue tendrement. Il se sortit un moment, quand il entendit qu'il était un « gosse » alors qu'il n'aimait pas ce mots, ni avouait même qu'il en était un. Et pourtant il faisait la même mimique d'un enfant qui se mettait à bouder, comme quoi elle n'avait pas tord, mais seulement c'était difficile de lui faire admettre. « Très bien, il n’y a pas plus adulte que toi » mentit-elle, en sachant qu'il accepterait, sans même savoir que c'était un mensonge, mais il approuvait quand même. Il se la jouait également adulte pour le coup, même s'il ne pouvait pas s'empêcher de rester un adulte « enfantin » qui refusait de grandir, par peur de mourir trop vite, et de ne pas s'amuser pleinement. « Et je proteste : c’est dommage que tu n’aies qu’une sœur ! On t’aurait fait tourner en bourrique, encore pire que j’ai pu le faire toute seule ! », déclara-t-elle, fière d’elle. Il aurait du mal à le supporter, si vraiment elle le tournait en « bourrique » et qu'elles voudront être « médecin » pour pouvoir le soigner, ou même assister, comme faisait actuellement sa sœur. Il savait qu'elle ne voulait pas le partager, cependant, qu'elle aimait être la seule femme de la maison, pour pouvoir emmerder. « Il est hors de question ! Je n'ai qu'une sœur et ça me convient parfaitement ! Je vais mourir trop tôt sinon.. » bouda-t-il, en faisant comprendre qu'il ne pouvait pas vivre envahi de femme. Il ne disait pas ça méchamment, de vivre plutôt, même c'était elle qui le faisait vivre plus longtemps. Il ne voulait pas que la famille s’agrandisse, avec des femmes, surtout avec le comportement de ses « frangins » qui venaient souvent le voir pour avoir des nouvelles, ou pour vouloir jouer les médecins. Il faut voir également un compliment, sur le fait qu'elle était la seule à le convenir, en tant que « sœur » et qu'il adorait même s'il préférait la bouder la plupart du temps.

« Tu fais très adulte là, c’est clair ! » ria-t-elle, en le voyant se laver les mains, pour la deuxième fois, en ayant oublier la première. Il ne comprenait pas le mal de se laver les mains, ça faisait plus propre justement. Il devait avant tout ne pas retomber malade, à cause de sa maladie, donc il faisait attention, même à se relaver cinquante fois les mains, même si ça lui est arrivé trois fois de se relaver les mains trois fois, vu qu'il ne se rappelait plus. Il papotait tellement, qu'il en oubliait ce qu'il faisait même, mais ça l'amusait, même si là il ne comprenait pas. Il haussa les sourcils, et aborda une mine d'incompréhension. « Pourquoi tu dis ça ? » demanda-t-il, en se stoppant dans son action. Il se mit à préparer les ingrédients, quand sa sœur aborda un nouveau sujet. Et elle ne voulait pas le croire, quand il disait qu'il était « mature ». Il avait vraiment une tête d'enfant, à ce point, pour croire que ce n'était pas un « adulte ». Il devait peut-être se couper les cheveux, quoique c'était déjà fait. Il avait du prendre le traitement, qui avait fait perdre beaucoup de cheveux, mais il disait que ça faisait style « armée » et qu'il pourrait bien jouer dans un « film » plus tard. Il aurait sûrement le meilleur rôle. « Écoute, si ça te fais du bien de le croire, je ne vais pas te contrarier, hein ! » ria-t-elle de nouveau, en lui affirmant que si cela lui faisait plaisir, alors qu'il en soit ainsi. Il le croyait pourtant, mais on ne l'aurait pas cru, entendant son mini-chef, et son maman, de tout à l'heure. Il ne rajouta rien, se trouvant dans l'absolu, qu'il se donnait tous les droits, étant le plus vieux, le plus mature, et le plus malade, donc il avait droit au 50/50 de Jean Pierre Foucaut. Il décida de donner son voix au public, maintenant, pour se taire un peu, et prendre sa respiration, comme il ne prenait pas le temps. « Je suis une grande chef, voyons ! On vend mes recettes dans le monde entier ! » se venta-t-elle, en amusant son frère qui se mit à rigoler, avant de se recevoir la tape amusé de sa sœur, qui se la pétait en train de se la jouer Ciril Lignac. Et comme il dit souvent, « sans cacahuète, il n'y a pas de fête. » Il prit des cacahuètes, qu'il grignota, pendant que sa sœur commençait à verser le prochain ingrédient, pendant qu'il remuait d'une main. Il est multifonction, il peut manger, tout en remuant un plat, et en disant des conneries. On ne pourra pas remplacer « Théo » le roi des idiots, la belle rime ! « Dites-moi alors une de tes recettes ? » questionna-t-il, en faisant un regard sérieux, pour se la jouer intervieweur. Il prit une courgette qu'il prit comme « micro » tout en la tendant près de sa sœur pour qu'elle parle à l'intérieur. Il n'était pas du tout sérieux là, et comment voulez-vous démentir qu'il n'est pas un enfant, avec une courgette. On ne peut pas se permettre de douter, de son sérieux, et de son air enjouée, surtout maintenant.

« Je sais pas... », fit-elle, en rajoutant du beurre au mélange, tandis qu'il mangeait des cacahuètes, pour que la fête soit plus « folle » qu'elle ne l'est déjà. « On prend des paris et tu les comptes pour savoir qui se rapproche le plus de la vérité ? » proposa-t-elle, d'un air complètement sérieux. Il hocha la tête, en acceptant de prendre les « paris » même s'il était déjà sûr de gagner. Il était le meilleur pour gagner à des « idioties » surtout pour compter, ce qui normalement aucune personne ne comptera tellement c'est stupide. « Okey, ça marche ! » répondit-il, en se mettant à compter, tout en relevant la pâte, et la mélangeant pour savoir qui avait raison. Il se disait qu'il devait y avoir minimum 100, en comptant le petits, comme les gros. Il s'amusait à mettre le doigts pour les écraser. Il n'était pas brillant sur ce coup, mais ça l'amusait, donc autant lui faire plaisir non. « Je propose... 618 grumeaux ! » propose-t-elle, en terminant ce qu'elle avait à faire. Il termine également de compter. Elle n'avait pas tellement tord, il devait y avoir des centaines, même une ruche entière de grumeaux, seulement pour un gâteaux pour deux personnes. Il tordit son nez, en voyant qu'il n'y en avait autant que ça, sans aller dans l'extrémité, comme avait dit sa sœur. Et finalement, il dit d'un air triomphant « Je propose pour ma part 150 grumeaux ! La bonne réponse est.. 102 grumeaux, si on compte les gros et les bébés ! Le winner est... Théo Silverwood ! » exclame-t-il, en se baissant comme un vainqueur, en faisant l'avion, pour montrer qu'il était le meilleur.

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Kaïa N. Silverwood


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« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyDim 16 Juin - 14:30



Kaïa & Théo :
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Roulant des yeux, Kaïa lâcha un petit rire, amusée, mais pas surprise, de voir son frère nier la vérité : il n’avait pas perdu son âme d’enfant. Si Peter Pan devait être personnifié chez quelqu’un, c’était bien en Théo qu’il vivait. Même s’il pouvait se montrer un peu plus mature que son illustre modèle, lorsque besoin était : il avait bien réussi à élever Kaïa ! « Allez, je suis d’humeur charitable, alors je vais dire que tu as raison et que tu es simplement très enjoué ! Et tu m’as élevé aussi bien que possible, au vu des circonstances ! » C’était vrai, Kaïa avait toujours estimé que Théo avait fait de son mieux pour s’occuper d’elle, alors qu’il n’avait pas forcément la maturité nécessaire pour cela (du moins, lors de son enfance à elle.). Il s’était toujours montré présent et encourageant, comme un père aurait dû l’être. A tel point qu’elle avait parfois eu l’impression d’empêcher Théo de profiter de son adolescence comme il aurait été en droit de le faire si leur père avait assumé ses responsabilités vis-à-vis de sa fille. « T’as fais du bon boulot, je suis sûre que maman aurait été fière de toi ! » Certes, ses paroles peuvent être considérées comme des paroles en l’air, après tout, elle n’avait jamais connue sa mère. Mais elle en avait beaucoup entendu parler, surtout par son frère aîné, bien entendu. Il faut dire qu’elle avait posée des centaines de questions à son propos, cela étant on ne peut plus normal, elle avait bien besoin de connaître sa mère, après tout, de s’imaginer comment cette dernière pouvait bien être ! « Grâce à toi, je pense qu’on peut dire que je suis une fille bien ! » Ouais, ça contredisait le fait qu’elle se qualifiait d’étrange, mais avec Kaïa, il ne faut pas toujours chercher la logique, que voulez-vous ? « Je ne suis pas la seule à dire que je suis étrange ! », s’écria-t-elle suite à Théo qui avait lancé qu’elle ne l’était nullement. « Noah est d’accord avec moi à ce sujet ! Il me le dit souvent ! ». La jeune femme annonçait cela avec une immense fierté, comme si on avait de quoi être fier d’être considéré par certains comme bizarre. Ce qui en un sens plaisait à Kaïa, qui refusait être comme les autres. Cependant, son sourire ne gagna pas son regard, pour la simple raison qu’elle avait l’impression que Noah était quelque peu distant, depuis l’accident de voiture dont elle avait été victime. Et ça la faisait souffrir, Noah étant l’une des rares personnes qui comptait réellement pour elle. Un nouveau sourire naquit sur ses lèvres suite au bisou que Théo lui fit. Les gestes de tendresses étaient monnaies courante entre les deux, ça l’avait toujours été. Au risque d’étonner des camarades de classe de Kaïa lors de son adolescence, certains étant surpris de la relation complice qu’entretenaient les deux Silverwood.

Kaïa donna un petit coup de coude, plus taquin que méchant, à son frère, en réponse au fait qu’il ne se sentait pas en mesure de vivre plus longtemps s’il devait supporter d’autres sœurs. Elle ponctua son geste en disant : « Allons, tu aurais sans doute adoré ! On aurait été plus nombreuses à s’allier avec Melody pour t’embêter en plus : le rêve, non ? » Non, au fond, c’était mieux que Kaïa n’ait pas d’autres sœurs, elle le savait, et Théo aussi, mais en plaisanter était intéressant. Non seulement, elle n’avait pas à partager son frère avec ses hypothétiques sœurs, mais en plus de cela, le binôme aurait sans doute été moins proches qu’ils ne l’étaient actuellement ! Et ça, Kaïa refusait d’imaginer que ça puisse être possible ! Et qui dit d’autres sœurs, dit aussi Mme Silverwood encore en vie, ou du moins, avec une durée de vie plus longue : alors certes, ça aurait pu être plaisant, mais la vie de Kaïa lui convenait comme elle était pour l’instant, et pour rien au monde elle ne la changerait ! Si Kaïa s’ingéniait à sourire comme si elle imaginait les multiples plans qu’ils auraient pu inventer ensemble, elle n’avait pas pour autant comprit le compliment sous-entendu de Théo : il était content de n’avoir qu’une sœur, et que celle-ci soit ainsi. Ce qui était un beau compliment de sa part, Kaïa ayant souvent entendu celui-ci lui narrer à quel point, avant sa naissance, il espérait avoir une petite sœur un jour.

Entendant son aîné lui demander ce qu’elle sous-entendait suite à sa réplique sur son lavage de main, Kaïa admit, un brin moqueuse : « Je veux dire, Monsieur l’adulte responsable, que lorsque l’on se prépare à cuisiner, se laver les mains devrait être un réflexe ! » Et voilà, Kaïa était repartie en mode mère poule, mais amusée, cette fois-ci. Avant d’enchaîner le mode Je suis une grande chef pâtissière, aidée en cela par la réaction de Théo, qui se la jouait, quant à lui Homme à tout faire en même temps, en l’interrogeant avec une courgette en guise de micro. Certaines personnes auraient pu arquer un sourcil face à cette bizarrerie, mais Kaïa rentra de suite dans le jeu, agissant comme si c’était vraiment un micro : « Il y a trop de recettes pour n’en choisir qu’une. Au lieu de cela, je vous conseille d’acheter mon livre de cuisine qui va sortir dans une semaine maintenant ! Vous y trouverez votre bonheur : il y en a pour tous les goûts ! » La rouquine avait énoncée cela comme une pro vantant la sortie d’un de ses produits. Elle avait même regardé une caméra imaginaire pour adresser un clin d’œil aux spectateurs tout autant imaginaires. Oui, Kaïa prend à cœur de séduire les autres, parfois, même si ces derniers sont fictifs !

Alors que son frère comptait les grumeaux, elle se mit à grignoter des cacahuètes, parce qu’il faut l’avouer, voir son frère en manger lui avait donné envie d’en faire de même. Vous ne serez pas surpris d’apprendre que des trucs idiots comme ça, les deux complices étaient coutumiers du fait ! Attendant que Théo finisse de compter les grumeaux, Kaïa alla allumer le four, pour entamer le processus de préchauffage. Le verdict tomba finalement, Théo célébra sa victoire en faisant le pitre. Kaïa salua sa victoire – dans le sens propre du terme, bien sûr, on parle de Kaïa-là, surtout de Kaïa avec Théo, donc, le niveau intellectuel diminue bien vite ! « Bravo, tu es un pro pour les paris idiots ! », fit-elle par la suite. « Tu as gagné le droit de faire la vaisselle ! », plaisanta-t-elle. Bah quoi, elle avait le droit de tenter le coup non ? Toujours amusée par les pitreries de son frère, elle s’occupa à présent de mettre le chocolat dans le mélange, car sans chocolat, un gâteau au chocolat est bien moins plaisant, n’est-ce pas ? « Ou tu peux laver le sol, c’est comme tu préfères ! ». Bon, OK, elle en rajoutait une couche : ça l’amusait beaucoup !

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« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyMar 18 Juin - 16:07



Kaïa & Théo :
"Mon frère, ce héros."

« Allez, je suis d’humeur charitable, alors je vais dire que tu as raison et que tu es simplement très enjoué ! Et tu m’as élevé aussi bien que possible, au vu des circonstances ! » accepta-t-elle, montrant son désaccord. Il était un vrai homme, même qu'il avait éduqué correctement sa rouquine adorée. Il refusait d'admettre, qu'il était un « enfant » du moins un « grand enfant ». Et c'était pourtant la vérité, quand on vit avec un homme de la mentalité, d'un enfant de « cinq ans » ce n'est pas toujours facile à gérer. « Comment j'aurai pu t'élever, en étant un « gosse » si c'était le cas ? » demande-t-il, par rapport à son passé, en étant « gamin » si c'était vraiment vrai. Il était quand même un adolescent, qui avait pris soin de sa cadette, malgré son âge immature, et encore dépendant de son paternel. Il avait promis à sa mère de la protéger et de veiller sur sa sœur, qu'il avait rêver d'avoir. Il y a même par moment les « jumeaux » qui était jaloux de leur sœur, vu qu'elle formait un « binôme » avec l'aîné de leur belle et grande famille décomposée. Il ne regrettait pas de s'être occuper de sa sœur, il avait perdu quelques années, mais cela n'était rien comparé au bonheur, de jouer le « papa » de sa sœur. Il ne pouvait rêver mieux comme adolescence, malgré qu'il s'en voulait que sa sœur est eu un accident à cause de lui. « T’as fais du bon boulot, je suis sûre que maman aurait été fière de toi ! » approuvait-elle. Il se demandait, si cela aurait été possible, en sachant « l'accident » de sa sœur, en voulant le rejoindre. Il savait qu'on lui avait dit que ce n'était pas de sa « faute » réellement. Il avait juste prévenu, pour ne pas inquiéter, mais au contraire, elle avait paniqué, et rappliqué, en provoquant un accident. Et en prime, elle avait perdu la mémoire, et c'était vraiment douloureux, de savoir qu'il était « responsable ». Il avait été auprès d'elle du début à la fin à son arrivée à l'hôpital. Il ne se le pardonnait pas, trouvant qu'il aurait du ne rien lui annoncer, pour ne pas le faire souffrir. « non, je ne pense pas.. en sachant que cet accident est de ma faute.. » dit-il. Il savait que c'était une mauvaise idée de reparler de son « accident », mais il se sentait terriblement responsable. Il culpabilisait, en sachant qu'elle aurait pu rester en couple avec son homme, qu'il avait du mal à accepter, s'il avait « cacher » la rechute de sa maladie, après l'opération. Il ne lui avait pas parler de l'opération également. Il ne comptait pas lui en parler, même s'il cachait déjà des « lettres » contenant les rendez-vous, ou même le progressivement de sa maladie. Il ne l'avait pas dit à melody également, sachant qu'elle le prendrait très mal, et qu'elle lui ferait comprendre qu'il avait tord de réagir de cette manière. Il ne voulait pas vivre dans un hôpital. Il ne voulait pas se priver, malgré qu'il aurait pu survivre, plus longtemps.

« Grâce à toi, je pense qu’on peut dire que je suis une fille bien ! » dit-elle. Il embrasse sa joue tendrement, pour la remercie de ce compliment. Il était heureux de l'entendre, croyant qu'il avait vécu une femme « bizarre ». Il ne faut pas oublier, qu'elle était « rousse » également. Il y a une chance sur 10 000, que ça tombe sur les Silverwood. Ils étaient la « raison » de sa démence, et d'être une vrai barje, comme il pouvait l'être également. Il était fier d'être son aîné, et de voir comme une sœur un médecin spécialisé en « neurologie » elle avait bien tourné, malgré ses doutes, et ses peurs. Il aurait bien triste, qu'elle lui annonce, qu'il devait mourir dans quelques années non. Il fallait s'en douter, cela allait dérouler en « plaisanterie » digne de la rouquine. « Je ne suis pas la seule à dire que je suis étrange ! » réplique-t-elle, en faisant (ref.) à son meilleur ami, et petit-ami même si elle avait oublié. Il fronça les sourcils, en se doutant qu'elle devait rajouter également le « responsable » de cette bizzarerie. « Noah est d’accord avec moi à ce sujet ! Il me le dit souvent ! » termine-t-elle, en parlant de son « Noah » décidément, elle devait le taquiner avec cet homme. Il fut choqué de l'apprendre, il fera une « pétition » pour lui démontrer le contraire. Il y aura peut-être plus de contre, bien entendu, seulement pour emmerder comme d'habitude. Il lui fit des chatouilles, pour la « punir » d'en être fier de n'être pas comme les autres. Il ne voulait pas qu'elle soit mise à part, elle était tout sauf « bizarre » à ces yeux, peut-être parce qu'il était également, ou simplement parce que c'était SA rouquine, et qu'il ne lui trouverait pas de défauts. Il vint de nouveau embrasser sur la joue, en étant très proche de sa sœur, plus que l'est en général les « sœurs et frères » en vue de leur comportement. Il savait que ça épatait beaucoup de personnes, mais il était également son « paternel » et son « grand-frère », il ne pouvait que l'aimer, surtout en sachant, qu'il avait toujours voulu. « Il a tord de le croire, y a pas meilleur que toi ! » complimente-t-il, en pensant réellement. Il était vraiment des bisounours, et des clowns en même temps. Il lançait des « vannes » comme il pouvait la complimenter, et lui montrer qu'il aimait beaucoup, et qu'il ferait n'importe quoi par sa rouquine. Il n'y avait de plus important que son bonheur. Il savait qu'il serait la « cause » de son malheur, quand il décédera. Il ne voulait rien regretter, et pouvoir vivre éternellement, avant de décéder à cause d'une leucémie mortel.

« Allons, tu aurais sans doute adoré ! On aurait été plus nombreuses à s’allier avec Melody pour t’embêter en plus : le rêve, non ? » demande-t-elle. Il savait déjà pour sa femme, et sa rouquine, qu'elle comptait le choyer comme un “enfant”. Il aborait une mine outrée, par rapport à ses “jumelles” qui compterait l'emmerder. Il avait déjà tout, pourquoi rajouter “autre chose” pour le combler de bonheur -ou de malheur-. Il faut dire que ce n'était pas le rêve idéal, non ! Il serait pourchasser par des soeurs, qui voudront lui donner la “piqure” pour son traitement, et qui attendrait aux toilettes, quand il serait complétement malade. Il n'aurait même plus une minute à lui pour se reposer. Il fronça les sourcils, pour montrer son désaccord, par rapport à une “famille” plus grande, ou composée uniquement de “soeurs” -ou d'emmerdeuse, pour dire vrai- « Tu es sérieuse là ? Je crois que je vais décamper rapidement, alors ! Je suis déjà assez bien garni avec une femme compliquée, et une soeur emmerdeuse ! » souffla-t-il, en s'imaginant, avant de tomber sur le cul. Il était réellement tomber au sol, pour montrer son “désaroi” mais également qu'il commençait à fatiguer. Il n'était pas superman, mais se croyait capable de tenir longtemps, alors que le traitement commençait à “fonctionner” du moins pour le temps qu'il lui restait à vivre. Il avait même complimenter, en disant qu'il ne pouvait pas rêver de soeur, mieux qu'elle, en un seul exemplaire. Il faut dire que plusieurs, ça serait plus dramatique, et il ne serait plus ou se donner la tête. Il se pinça la lèvre, avant de rajouter quelque chose. « Tu n'aurais pas dû abandonner ta vie pour venir t'occuper de moi ! Je me porte bien pour le moment ! J'aurai pas du te le dire peut-être.. » s'inquiète-t-il, en se sentant responsable du changement de vie de sa soeur, et de son accident. Il s'inquiétait pour sa soeur, en se disant qu'à cause de sa maladie, elle va se privait de ses quelques années, sachant qu'il ne sera pas là tout le temps. Il soupira longuement, avant de changer de conversation. Il observa quand elle fut un peu plus moqueuse, au moment du lavage de mains. Il n'était pas très propre, ou adulte, pour le coup, sachant qu'il faut se laver toujours les mains. « Je veux dire, Monsieur l’adulte responsable, que lorsque l’on se prépare à cuisiner, se laver les mains devrait être un réflexe ! » se moqua-t-elle, en lui faisant la remarque. Il était malade, une raison de plus de ne pas réattraper des “microbes” en dehors de sa santé fragile, maintenant que sa leucémie a reprit du “service”. Il fronça les sourcils, abordant une moue vexée, pour montrer qu'il avait simplement “oublié” bientôt il oubliera même sa tête. Il faudra bientôt lui accrocher. Il ne répondit pas à son accroche, la moue suffisait simplement amplement. Elle jouait ensuite “les chef cuisinier” en disant, qu'elle possédait des recettes. Il prit une courgette, pour l'interviewer par rapport à son métier de “cuisinière” à mi-temps, vu qu'elle est médecin en neurologie. Il la questionna, par rapport aux fameuses recettes.

« Il y a trop de recettes pour n’en choisir qu’une. Au lieu de cela, je vous conseille d’acheter mon livre de cuisine qui va sortir dans une semaine maintenant ! Vous y trouverez votre bonheur : il y en a pour tous les goûts ! » répondit-elle. Il écouta, en voyant son clin d'oeil pour la caméra, qu'il l'avait amusé, à tel point qu'il se mit à rigoler. Il se moquait gentiment, en voyant comme elle s'y croyait vraiment. Il ne pouvait pas rester cinq minutes, sans faire les “idiots” comme d'habitude, et qu'importe l'endroit. Il ricana de nouveau, en imaginant la publicité, pour la vente de son bouquin. « Promis, on n'hésitera pas à l'acheter ! Vous avez compris, si vous voulez vous aussi vous régaler avec les recettes de Mme. Silverwood, achetez son livre qui sort la semaine prochaine ! Il y en a pour tous les goûts ! Je vous remercie pour cet interview, Mme. Silverwood ! J'espère que vous reviendrez pour nous préparer une autre de vos recettes, la prochaine fois ! » raconte-t-il. Il déposa la courgette, en battant les ingrédients ensuite, pour compter les grumeaux. Il avait toujours une question, même si elle était en grande stupide. Il était ravis d'apprendre, qu'il était le champion des “paris idiots”, dont personne ne pouvait le surpasser. Il se croyait tellement, en faisant la farandole, tout en remerciant la foule pour son soutien. Il y a maintenant une caméra quelque part, c'était même sur et certain vu leur comportement suspect. « Bravo, tu es un pro pour les paris idiots ! » dit-elle, avant de commenter sur son prix. Il devait avoir un “prix” même idiot. Il se méfia cependant, vu que c'était une grosse oppportunitiste il n'allait pas se laisser amadouer comme ça. Il écouta donc ce qu'elle avait à rajouter par rapport à sa cagnote de 1500€ en liquide, c'est beaucoup mieux ! « Tu as gagné le droit de faire la vaisselle ! » plaisanta-t-elle. Il fit une moue outrée, avant de sentir une envie de vomir, qui lui prenait rapidement. Il se mit à courir au toilette, pour vomir du sang comme d'habitude. Il allait finir par se vider complétement. Il devrait aller demain voir le spécialiste, et les infirmières pour qu'il puisse reprendre le sang qu'il avait perdu récemment. Il n'avait pas peur, le traitement réagissait différemment. Il était tombé sur le cas de quelques personnes comme lui à vomir, et à se fatiguer rapidement. Il essuya, avant de revenir dans la cuisine pour se laver les mains. « Ou tu peux laver le sol, c’est comme tu préfères ! » termine-t-elle en beauté, avant qu'il se met à rire, se doutant qu'il se casserait la figure, aussi rapidement qu'il lave le sol de la maison. Il était chez lui après tout, donc il pouvait amplement se demmerder et laisser le sol crade pendant son rétablissement. Il n'était pas comme ça, surtout que dans son état, il était conseillé de vivre dans un endroit propre, et sein pour un rétablissement rapide, après le traitement. « Tu devras me surveiller, alors ! Je risque de me casser la figure, aussi rapidement, que de passer la serpière ! » plaisanta-t-il également.

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Kaïa N. Silverwood


Kaïa N. Silverwood

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« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyVen 21 Juin - 15:11



Kaïa & Théo :
"Mon frère, ce héros."
Parfois, Kaïa se demandait comment son frère avait réussi l’exploit de l’élever de la sorte, étant donné qu’il était lui-même un enfant. Aussi fit-elle mine de réfléchir lorsque Théo lui posa la question. « Bah, je crois que t’as réussi à être adulte par moments ! Mais rarement, hein ! », ajouta-t-elle, taquine. Cependant, il fallait l’avouer, la maladie de Théo et la mort de leur mère l’avait sans doute fait grandir plus vite que prévu, cela expliquant sans nul doute le miracle autour de ce mystère. Même s’il n’était pas devenu mature au point d’en devenir incapable de sourire et de faire l’imbécile. Et avait toujours tendance à culpabiliser pour un rien, comme il le prouva en disant que l’accident dont avait été victime Kaïa était de sa faute. La rouquine fit claquer sa langue contre son palais, détestait voir son frère dire de telles choses. Attrapant une main de son aîné pour la serrer dans la sienne, elle lui déclara alors : « Arrête tes bêtises : cet accident n’est la faute de personne, et encore moins de la tienne ! ». Elle se doutait qu’il s’était mis en tête que s’il ne lui avait pas dit que son état de santé se dégradait, elle ne serait pas venu ici, mais ça l’insupportait qu’il se sente vraiment responsable de ça. Exerçant une dernière pression sur la main de son frère, elle ajouta : « Je ne veux plus que tu penses une telle connerie, d’accord ? » Puis elle retourna à son gâteau, et à leur conversation précédente, amenant un sujet moins grave sur le tapis, en disant à Théo que grâce à lui, on pouvait dire d’elle qu’elle était une fille bien.

L’aîné s’amusa alors à chatouiller sa cadette, qui éclata de rire tout en tâchant de fuir Théo, et de le repousser, sans cesser de rire. Lorsqu’il vint à nouveau déposer un baiser sur sa joue, elle fit mine de râler, avant de lui donner un coup d’épaule, comme pour le repousser doucement. « La prochaine fois que tu oses me chatouiller, je me venge... T’es prévenu ! », dit-elle alors, faussement énervée. Comment être vraiment énervée contre Théo, de toute façon ? « C’est parce que j’ai eu un bon modèle, alors ! » fit-elle après la réplique de Théo. Elle le pensait vraiment, se doutant que sans lui, elle serait sans doute aigrit, entre son père qui l’ignorait, le reste de ses frères qui lui donnait souvent l’impression d’être invisible, et l’ensemble de la maison qui lui reprochait la mort de Mr Silverwood. Théo avait toujours été un modèle pour lui, et ç vrai dire, c’était toujours le cas à l’heure actuelle !

Kaïa secoua la tête en entendant Théo prétendre qu’il avait déjà fort à faire avec elle et Melody. « Décampe si tu veux, tu reviendras dans même pas une heure quand tu réaliseras que sans nous, tu t’ennuies ! ». Bon, elle admettait qu’il y avait une différence entre supporter les frasques de deux femmes, et celle de toutes une tripoté. « Et quand tu seras revenu, j’aurais loué des actrices pour jouer nos sœurs quelques heures durant, histoire que tu vois à côté de quoi tu es passé ! » Comment ça, on ne louait pas des gens ? Qu’à cela ne tienne, Kaïa était têtue, elle était bien capable de convaincre des actrices en manque de rôles et d’argent d’accepter cette lubie des plus étranges ! « Tu n'aurais pas dû abandonner ta vie pour venir t'occuper de moi ! Je me porte bien pour le moment ! J'aurai pas du te le dire peut-être.. » Les sourcils de la rouquine se froncèrent en un éclair de seconde. Théo disait vraiment n’importe quoi, décidemment ! « Je n’ai pas abandonner ma vie. Avec ou sans ça, de toute façon, j’avais prévu de revenir ici...  Tu crois vraiment que j’aurai pu faire ma vie aussi loin de toi sans vouloir revenir à tes côtés pour profiter de toi ? » Oxford était certes une ville que Kaïa adorait, mais elle était bien trop loin à son goût de Lewis, et de ce fait, de son frère. Il avait donc toujours été clair dans l’esprit de la rouquine qu’elle reviendrait dans sa ville natale, une fois ses études fini. Ou plutôt, qu’elle irait retrouver Théo où qu’il soit, la ville n’ayant que peu d’importance à ses yeux. Décision qui pouvait certes paraître idiote, certains ayant fait savoir à la jeune femme qu’elle gâchait ainsi sa vie à ne vivre que majoritairement pour Théo, mais elle ne pouvait envisager rester loin de lui, alors qu’il était malade, et qu’il ne lui restait malheureusement pas beaucoup de temps à vivre (même si elle ignorait combien exactement.). Alors, tant qu’il était là, elle voulait juste être avec lui, et passer le plus de temps possible en sa compagnie. « Ma vie m’attendra toujours, mais des instants avec toi... » La rouquine n’ajouta rien, incapable de dire la suite. C’était drôle, n’est-ce pas, de savoir qu’elle pouvait parler de la mort de ses patients avec leur proche, mais qu’elle avait des difficultés à envisager réellement un avenir sans Théo. Se sentant incapable de parler, Kaïa alla se réfugier dans les bras de son frère, maudissant à nouveau sa maladie au cours de ce câlin. « C’est mon choix, je ne le regrette pas », déclara-t-elle quelques secondes plus tard en se détachant de lui, « alors je t’interdis de culpabiliser ! »

Une courte leçon d’hygiène commença ensuite, remplacé par un délire stupide de Kaïa grand pâtissière et auteur d’un livre de recette à sortir prochainement. Alors que Théo, dans son rôle de journaliste, clôturait l’interview, Kaïa adressa de grand signe de la main, toujours à la caméra imaginaire. Et oui, même pour faire n’importe quoi, elle était bien élevée, et disait au revoir à ses fans imaginaires ! L’instant « Grand n’importe quoi made in Silverwood » continua avec le décompte de grumeaux de la pâte de leur gâteau. Kaïa énonça le prix que Théo avait gagné, en remportant leur petit jeu très intellectuel. Voyant son aîné partir au plus vite au toilette, elle poussa un petit soupir, une fois de plus, maudissant la leucémie de Théo, rêvant à nouveau d’être dans un monde plus magique, et de pouvoir le guérir d’un coup de baguette magique. Sachant que son frère ne serait guère heureux de la voir s’inquiéter ouvertement pour lui (il s’en doutait sans nul doute), elle continua sur sa lancée de remise de prix très intéressants lorsqu’il revint dans la pièce, s’amusant de voir que la perspective de faire le ménage ne l’enchantait guère. « Tu devras me surveiller, alors ! Je risque de me casser la figure, aussi rapidement, que de passer la serpière ! » Versant la pâte dans un moule, Kaïa secoua négativement la tête : « Ah non, je refuse. A moins que je ne puisse te filmer et mettre la scène sur internet, bien entendu ! », prétendit-elle avec un grand sourire. Oui, elle plaisantait, oui, leur puérilité face à la situation pouvait en choquer certains, car après tout, pour beaucoup, la maladie de Théo flottait trop autour d’eux pour qu’ils puissent en rire ainsi. Et elle s’en moquait. « En fait, tu sais ce qu’on devrait faire ? Une patinoire dans la cuisine ! Ca pourrait être drôle, non ? ». Elle avait annoncé ça comme si elle parlait de maths, avec un sérieux déroutant. La pâte étant intégralement versée dans le moule, elle tendit le saladier à son aîné : « Tiens, si par hasard, tu veux avoir un avant goût du gâteau ! Il faut avoir l’estomac plein pour préparer une patinoire ! ». Oui, elle voulait sa patinoire ! Et alors ? Elle voulait aussi une licorne, mais ça, elle la demandera plus tard, une fois le gâteau cuit. A moins qu’elle n’interroge son frère sur son état de santé, craignant, à le voir malade ainsi, qu’il n’aille plus mal qu’il ne voulait lui faire croire...

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« Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo Empty
MessageSujet: Re: « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. » - Théo   « Ce qui peut me brisé, ce n’est pas que tu t’appuies trop sur moi, c’est que tu m’abandonnes. »  - Théo EmptyDim 23 Juin - 22:51



Kaïa & Théo :
"Mon frère, ce héros."

« Bah, je crois que t’as réussi à être adulte par moments ! Mais rarement, hein ! » ajoute-t-elle. Il ne laissa rien montrer. Il savait qu'elle le taquinait, comme à ses habitudes, pour bien emmerder comme une sœur. Il était adulte, sinon elle serait une « délinquante ». Il n'aurait pas supporter à s'occuper d'une délinquante, sachant qu'il doit mourir dans quelques années, ou mois, si son état ne se dégrade pas entre temps, et qu'il prend bien son traitement. Il pourrait se venger, mais fallait trouver une solution radicale. Il prit un autre ton, pour parler d'un sujet plus important, comme celui de son départ, et de son accident. Il se le reprochait beaucoup. Il aurait cru qu'elle aurait toute sa tête, si elle n'aurait pas appris sa dégradation. Il aurait peut-être dû se taire, pour éviter que cela se produise. Il croyait même que son meilleur ami lui en voulait, d'avoir gâcher leur amour, à cause de cet accident. Il n'avait rien dit, mais il lui semblait clair, qu'il lui en voulait malgré tout. « Arrête tes bêtises : cet accident n’est la faute de personne, et encore moins de la tienne ! » répondit-elle, en fronçant les sourcils. Il baissa le regard légèrement, en repensant à cet accident. Il se revoyait dans cet hôpital, en voyant sa sœur inconsciente, donc à son réveil, elle se rappela pas de certain événement. Il avait dit que cela reviendrait avec le temps, mais qui faudrait aider. Il n'avait pas aider, il s'était contenter de celle qu'elle était, en aimant toujours autant, et vouloir la protéger, pour ne pas la reperdre. Il se retrouvait à être choyer comme un enfant par sa sœur amnésique. « Je pense que si vraiment, tu n'aurais pas appris pour ma leucémie, tu n'aurais pas eu cet accident ! » explique-t-il, en s'amusant nerveusement avec sa lèvre. Il n'aimait pas s'énerver, ou même parler de chose importante. Il n'était pas longtemps sérieux, et puis ça ramenait la « mauvaise humeur ». Il savait également, que ça revenait toujours à parler de sa leucémie, comme quoi il allait mourir. Il ne répondait pas, quand on lui demandait par rapport à « sa leucémie ». Il sentit la pression sur sa main, quand sa sœur lui serra doucement. il reporta son attention sur celle-ci quand elle vint lui demander quelque chose.

« Je ne veux plus que tu penses une telle connerie, d’accord ? » demande-t-elle, avant de retourner à son « gâteau ». Il hocha simplement la tête. Il n'aimait pas se prendre la tête avec la rouquine, qu'il aimait vraiment beaucoup. Il voulait profiter de son apparition, pour vivre ces derniers moments avec elle. Il n'y avait rien de plus important. Il pouvait sûrement travailler, et dédier sa vie aux patients, mais il y a bien d'autre docteur, et surtout son camarade qu'il appréciait tout particulièrement. Il se mit ensuite à la chatouiller, par rapport à ce qu'elle était bizarre, alors qu'elle ne l'était pas le moins du monde. Il adorait passer des moments comme ça avec sa sœur. Il aimait vraiment plus que tout, que par moment on se demandait s'il en était pas amoureux. Il ne fallait pas s'imaginer ça. Il se considérait comme son paternel, et également son grand-frère, c'était un amour démesuré fraternel. Il n'y avait pas meilleur qu'eux pour s'aimer comme un couple, pour semer le trouble. « La prochaine fois que tu oses me chatouiller, je me venge... T’es prévenu ! » prévient-elle. Il avait compris le message, mais cela n'allait pas l'empêcher. Il faut dire qu'elle était prévenu déjà. Il avait fait maintenant, il pouvait recommencer à tout moment. Il était comme une bête sauvage qui adore emmerder les rouquines, qui passait dans sa maison. Il était tellement adorable, qu'on ne pouvait pas se « venger ». Et il était malade, donc aucune brutalité « gratuite ». Il n'avait rien mérité de tel pour le moment. Il se vengerait également. Il la défia du regard. « Que comptes-tu faire ? Je suis malade ! Il ne faut pas martyriser un mourant ! » essaye-t-il de la raisonner. Il se servait de sa maladie, pour une protection contre les « vengeances ». Il en profitait du moment, que cela marchait, vu qu'elle ne pourra pas dire le contraire. Il sourit de son sourire le plus adorable, pour montrer qu'il était innocent. Il savait qu'elle ne pouvait se mettre en colère, contre son adorable grand-frère qui avait éduqué avec amour. Il en avait même la preuve ! « C’est parce que j’ai eu un bon modèle, alors ! » fit-elle. Il était vrai qu'elle avait eu un bon modèle, mais également un adorable modèle. Il était même aimer des femmes. Il était malade, mais sans doute le plus aimable, et souriant des mourant du monde. Il était sûrement le meilleur du monde, pour ses conneries uniques en son genre, mais également sa bonne humeur à perpétuité.

« Décampe si tu veux, tu reviendras dans même pas une heure quand tu réaliseras que sans nous, tu t’ennuies ! » dit-elle. Il décampera rapidement. Elle n'aura pas besoin de le répéter. Il sera déjà parti dans un île déserte, tranquillement. Il ne réalisera rien du tout, déjà une sœur et une femme s'est suffisent. Il ne faudrait pas couronner le tout, avec une panoplie de « rouquine » collante, chiante, et casse pied pour empêcher de dormir. Il s'ennuiera sans les seules et uniques. Il s'ennuie jamais, même tout seul, car il a toujours une « connerie » à balancer ou même à s'occuper. Il comptera tout ce qu'il trouvera sinon, même la moisissure. Il serait prêt à tout pour être tranquille. A tout ! « Je serais déjà sur une île déserte ! » s'amuse-t-il à répondre, dans un magnifique sourire. Il amusait torturer sa sœur, c'était un amusement, surtout qu'entre eux, ils ne prennent pas rien réellement aux « sérieux ». Ils étaient vraiment incorrigibles ! « Et quand tu seras revenu, j’aurais loué des actrices pour jouer nos sœurs quelques heures durant, histoire que tu vois à côté de quoi tu es passé ! » explique-t-elle, avant qu'il ne sorte les grands yeux suppliants. Il ne la croyait pas, mais elle serait capable de le faire, uniquement pour se venger, pour pour emmerder. Il sera difficile de le partager. Il se vengera en préférant une actrice qu'à sa sœur réel. Il était méchant. Il aimait bien emmerder également, comme quoi « qui chatie bien, aime bien » cela s'appliquait parfaitement. Il faut dire que ce proverbe, concernait bien les deux adolescents. Ils en étaient toujours, en voyant leurs comportements.Il y en avait même pas en à douter. « NON, tu oserais me faire ça ! » s'exclama-t-il. Il était vraiment étonné de la supercherie de sa sœur. Il en revenait rapidement à son départ. Il ne pouvait pas s'en empêcher, c'était comme plus fort que lui. Il se sentait responsable. Il était en même temps, c'était sa sœurette, qu'il chérissait, et qu'il devait s'occuper. Il était son paternel également. Il ne supportait pas qu'il lui arrive un malheur, même maintenant.

« Je n’ai pas abandonner ma vie. Avec ou sans ça, de toute façon, j’avais prévu de revenir ici...  Tu crois vraiment que j’aurai pu faire ma vie aussi loin de toi sans vouloir revenir à tes côtés pour profiter de toi ? » demande-t-elle. Il ne savait pas qu'elle comptait tout de même revenir. Il serait peut-être arriver cet accident. Il commençait à douter, sachant qu'elle s'était tout de même précipiter, et que cela avait provoqué son accident. Il était complètement perdu. Il s'en doutait, en même temps, vu qu'ils étaient vraiment inséparable. Il aurait voulu également profiter de ses derniers mois entouré de sa femme, et de sa sœurette adorée. Il n'a pas revu sa femme depuis un moment. Il espérait que rien ne lui soit arriver, comme quoi les malheurs arrivent rapidement. Il ne lui aurait peut-être pas du informer sa femme également. Il culpabilisait s'il devait lui arriver quelque chose, comme sa sœurette. Il se mit simplement à sourire, pour répondre à sa rouquine, avant qu'elle ne vienne rajouter. « Ma vie m’attendra toujours, mais des instants avec toi... » se stoppa-t-elle, en comprenant le mal. Il la serra dans ces bras doucement, en déposant un baiser sur sa tête, pour la rassurer, qu'il ne comptait pas réellement décamper. Il attendrait qu'elles soient prête, même si cela l'étonnerait réellement. Il était bien contre sa sœur, il aurait aimé rester comme ça une éternité pour ne rien manquer de ce moment. Il écouta cependant ce qu'elle devait rajouter de nouveau. « C’est mon choix, je ne le regrette pas » rajoute-t-elle, par rapport au fait de venir à Leeds. Il ne le regrettait pas non plus. Il sentait seulement coupable. Il se mit à sourire, en ne rajoutant rien. Il ne voulait pas répondre, et ne savait pas quoi dire. Il n'y a rien de mieux qu'une enlaçade pour remplacer les mots. Elle se détacha doucement, avant de reprendre la parole. « alors je t’interdis de culpabiliser ! » ordonne-t-elle, pour lui faire comprendre il ne devait pas culpabiliser. Il hocha la tête pour lui promettre, de ne plus culpabiliser, même si elle savait qu'il ne pourrait pas s'en empêcher réellement. Il était toujours inquiet pour sa sœur, que ça soit dans un temps normal, ou pour son accident récemment.

Il en revenait à leurs jeux de rôles, ou il conclu avec « brio » quand il se remit à compter pour les grumeaux. Il devait y avoir un gagnant, et comment on devait s'en douter, cela ne pouvait être que cet idiot de « theo » qui était le gagnant. Il ne put finir au bout, vu qu'il fut pris d'un vomissement en dernier moment, se doutant que sa sœur allait s'inquiéter. Il retourna rapidement, pour entendre son « prix » mais, il fut choqué de voir comment elle comptait le féliciter, mais lui répondit avec autant d'humour. Il disait qu'il risquait de tomber au sol, aussi rapidement que passer la serpillière. « Ah non, je refuse. A moins que je ne puisse te filmer et mettre la scène sur internet, bien entendu ! » prétendit-elle, avant qu'il fit une moue choquée, par ce qu'il vient d'entendre. Il ne rêvait pas sa sœur voulait le filmer pour « vidéogage » pour que tout le monde se fou de lui. Il se mit de nouveau à bouder, même s'il savait que c'était une connerie de sa sœur encore. « En fait, tu sais ce qu’on devrait faire ? Une patinoire dans la cuisine ! Ca pourrait être drôle, non ? » demande-t-elle. Il fallait mouiller le sol, et ensuite prendre des chaussons pour glisser. Il promettait de passer toute son après-midi à s'amuser, ou plutôt se casser la figure, comme il était maladroit. Il était idiot, mais pas trop adroit surtout pour tenir debout sur un sol humide. Il ouvrit de grand yeux illuminé, en entendant sa géantisme idée. Il se mit à sauter. Il fait souvent ça quand il a une idée de « brio » ou quand il trouve une idée génial comme sa sœur maintenant. « Je suis pour ! Je vais m'éclater ! » s'écria-t-il, en pensant à sa soirée dans la cuisine, en train de glisser, ou de tomber comme un idiot. Il va avoir des voisins, qui vont voir des personnes passaient et repassaient, dans « la cuisine » en glissant les deux imbéciles. Il s'imaginait déjà la conversation. « Jean-Pierre ! Les voisins ont une patinoire dans leur cuisine ! » « Ah bon ?! » Il se mit à rigoler. « Tiens, si par hasard, tu veux avoir un avant goût du gâteau ! Il faut avoir l’estomac plein pour préparer une patinoire ! » dit-elle, en lui tendant le saladier. Il eut les yeux illuminés, en commençant à tremper son doigt pour le lécher tout entier. Le reste était dans un plat, il n'y avait que le contour à lécher. Il prenait un plaisir à tout lécher, c'était vraiment bon. Il ne put même s'empêcher, de faire la remarque, en léchant le saladier, en prenant le contour avec son doigt, comme un enfant. « C'est délicieux ! J'ai vraiment hâte de manger ce gâteau ! » s'exclama-t-il, en partageant avec sa sœur.

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